Editions : Nathan (2012)
Nbre de pages : 389
Présentation de l'éditeur :
Bannie de l'univers protégé de la cité de Rêverie, Aria, 16 ans, sait
que ses chances de survie à l'extérieur sont minces. Au dehors, des
orages électriques grondent, l'air semble irrespirable et des cannibales
rôdent. Mais Aria rencontre Perry, un « Outsider ». Il est ombrageux,
il est sauvage – mais il est son seul espoir de rester en vie. Chasseur
aux sens surdéveloppés, très adaptéà ce monde du dehors, Perry ne voit
en Aria qu'une fille fragile, comme toutes les « Sédentaires ». Elle est
cependant, peut-être, celle qui pourra l'aider…
Mon avis :
Je n'ai fait qu'une bouchée de ce premier tome d'une nouvelle dystopie qui sortira aux Editions Nathan le 13 septembre prochain que je remercie très sincèrement pour la découverte avant l'heure.
C'est bien simple, tout m'a plu dans ce livre : l'histoire, les personnages, l'ambiance.
La présentation de l'éditeur expliquant parfaitement le début de l'histoire, je ne vais pas refaire un résumé qui dira quasiment la même chose.
Il m'a fallu un peu de temps pour bien entrer dans l'histoire et comprendre l'univers que mettait en place Veronica Rossi. Mais c'était toujours avec beaucoup d'intérêt et de curiosité sur ce que j'allais découvrir que je prenais ce livre.
Le fait que Aria vivait dans une capsule, endroit clos interdisant tout accès à l'extérieur, m'a d'abord choquée et j'étais très curieuse de voir sa réaction face à l'inconnu lorsqu'elle se retrouve "enfermée dehors" (c'est un terme d'ailleurs qui m'a fait sourire puisqu'il est difficilement imaginable pour nous d'être enfermé dehors !). De plus, les Sédentaires ont des particularités bien définis que l'on connaît au fur et à mesure que l'on progresse dans l'ouvrage et j'allais d'étonnement en étonnement, de plus en plus intriguée et happée par ce récit.
Perry, lui, le Sauvage comme le surnomme Aria est un être très attachant. Ses premières réactions face à "la Taupe" (surnom donné par les "extérieurs" aux Sédentaires) m'ont paru normale.
Après tout, on fait se rencontrer deux êtres totalement différents, venant de deux "mondes" qui ne se comprennent pas et qui se combattent.
Autant dire que j'étais exaltée par ce qui allait suivre. Veronica Rossi a su, dès les premières pages, m'attirer dans son histoire, dans son ambiance apocalyptique où il est difficile de survivre, avec un rythme ni rapide ni trop lent qui permet au lecteur de s'imprégner de ce tout qui fait de Never sky une dystopie à ne rater sous aucun prétexte.
On découvre un univers étonnant et des personnages très attachants qu'il s'agisse des principaux ou de ceux qui gravitent autour d'eux pour les aider ou les maltraiter. Pour exemple, je prendrai le personnage de Cinder que l'on ne voit pas très souvent et qui me rend très interrogative sur ce qu'il est exactement. Il fait partie de ceux que j'ai très envie de retrouver dans le tome suivant pour en savoir plus.
J'ai vécu cette lecture intensément avec l'impossibilité de la lâcher quand je l'avais entre les mains. Ce fût une découverte fabuleuse, en ce qui me concerne, qui est d'ailleurs la meilleure que j'ai pu lire jusque là.
En bref, à sa sortie, n'hésitez pas à le découvrir à votre tour !
Le seul bémol que je note concerne uniquement les parutions à un an d'intervalle entre chaque tome puisque le tome 2 ne doit paraître en France qu'à la rentrée 2013. Si c'est pas du gâchis ça !!!
Mon avis :
Je n'ai fait qu'une bouchée de ce premier tome d'une nouvelle dystopie qui sortira aux Editions Nathan le 13 septembre prochain que je remercie très sincèrement pour la découverte avant l'heure.
C'est bien simple, tout m'a plu dans ce livre : l'histoire, les personnages, l'ambiance.
La présentation de l'éditeur expliquant parfaitement le début de l'histoire, je ne vais pas refaire un résumé qui dira quasiment la même chose.
Il m'a fallu un peu de temps pour bien entrer dans l'histoire et comprendre l'univers que mettait en place Veronica Rossi. Mais c'était toujours avec beaucoup d'intérêt et de curiosité sur ce que j'allais découvrir que je prenais ce livre.
Le fait que Aria vivait dans une capsule, endroit clos interdisant tout accès à l'extérieur, m'a d'abord choquée et j'étais très curieuse de voir sa réaction face à l'inconnu lorsqu'elle se retrouve "enfermée dehors" (c'est un terme d'ailleurs qui m'a fait sourire puisqu'il est difficilement imaginable pour nous d'être enfermé dehors !). De plus, les Sédentaires ont des particularités bien définis que l'on connaît au fur et à mesure que l'on progresse dans l'ouvrage et j'allais d'étonnement en étonnement, de plus en plus intriguée et happée par ce récit.
Perry, lui, le Sauvage comme le surnomme Aria est un être très attachant. Ses premières réactions face à "la Taupe" (surnom donné par les "extérieurs" aux Sédentaires) m'ont paru normale.
Après tout, on fait se rencontrer deux êtres totalement différents, venant de deux "mondes" qui ne se comprennent pas et qui se combattent.
Autant dire que j'étais exaltée par ce qui allait suivre. Veronica Rossi a su, dès les premières pages, m'attirer dans son histoire, dans son ambiance apocalyptique où il est difficile de survivre, avec un rythme ni rapide ni trop lent qui permet au lecteur de s'imprégner de ce tout qui fait de Never sky une dystopie à ne rater sous aucun prétexte.
On découvre un univers étonnant et des personnages très attachants qu'il s'agisse des principaux ou de ceux qui gravitent autour d'eux pour les aider ou les maltraiter. Pour exemple, je prendrai le personnage de Cinder que l'on ne voit pas très souvent et qui me rend très interrogative sur ce qu'il est exactement. Il fait partie de ceux que j'ai très envie de retrouver dans le tome suivant pour en savoir plus.
J'ai vécu cette lecture intensément avec l'impossibilité de la lâcher quand je l'avais entre les mains. Ce fût une découverte fabuleuse, en ce qui me concerne, qui est d'ailleurs la meilleure que j'ai pu lire jusque là.
En bref, à sa sortie, n'hésitez pas à le découvrir à votre tour !
Le seul bémol que je note concerne uniquement les parutions à un an d'intervalle entre chaque tome puisque le tome 2 ne doit paraître en France qu'à la rentrée 2013. Si c'est pas du gâchis ça !!!
je suis contente que ce roman t'ai plu! j'avais moi aussi adoré!
RépondreSupprimer@ Noémie : je file voir ton avis :)
RépondreSupprimerc'est vrai que c'est long un an ....
RépondreSupprimerC'est souvent le cas d'ailleurs , avis à messieurs les éditeurs !!
@ Karline : tu crois qu'ils vont nous entendre ces éditeurs ? :D
RépondreSupprimerJ'ai adoré aussi la façon de se découvrir entre Aria et Perry ! Et c'est clair qu'un an ça va être long :S
RépondreSupprimerJ'ai été aussi assez charmée par cet univers à part.
RépondreSupprimerPour l'attente entrez deux tomes, je crois que c'est nécessaire aussi pour que l'auteur puisse écrire un ouvrage de qualité. Je sais de quoi je parle (papa écrivain) et je peux affirmer qu'une année c'est ce qu'il faut pour un bon livre.
@ Mylène : heureusement qu'on a d'autres lectures en attendant :D
RépondreSupprimer@ Marion : je sais très bien qu'il est long d'écrire un bon livre. S'agissant de cette trilogie là, il faut savoir que le tome 2 sort en anglais en janvier 2013 et après avoir farfouillé sur le net, ce tome 2 est déjà auprès du traducteur. Du coup, et même si j'accepte fort bien qu'il y ait un décalage entre la sortie VO et la VF, j'ai du mal à comprendre pourquoi il faut attendre 9 mois ! Certes, il y a les lectures, relectures et corrections mais quand même...
Voilà qui donne très envie de le lire !!
RépondreSupprimer@ Bladelor : contente de te tenter :D
RépondreSupprimerUn an, ça fait long. Je devrais peut être attendre un peu pour le lire... Pourtant, avec un avis aussi enthousiaste, on a très vite envie de se laisser tenter :)
RépondreSupprimerHaaa ce livre me tente énormément ! De toute façon, je suis une grande fan de dystopie, donc je suis sûre d'aimer. Par contre, un an c'est long. On a limite le temps d'oublier l'histoire. Mais bon, il y a un travail de traduction qui est quand même long. :)
RépondreSupprimer@ Clairdelune : tu peux attendre un peu avant de le lire parce que c'est vrai qu'un an c'est long et avec tout ce qu'on lit on va forcément oublier des détails...
RépondreSupprimer@ Mirage : bah oui on va oublier certaines choses. Au pire, faudra relire quelques passages pour se le remettre en mémoire. On fera avec de toute façon :)
Contente que ce roman t'ait plu !! La suite est sympathique !! (et maintenant, je n'ai plus qu'à attendre le dernier tome !!!!)
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