Editions : L'Archipel (2015)
Nbre de pages : 345
Présentation de l'éditeur :
Manuel Perrine n’a peur de rien ni de personne. Puissant, charismatique et impitoyable, il abat ses rivaux avec l’aisance qu’il met à arborer des costumes de lin blanc griffés.
L’inspecteur Michael Bennett est le seul flic à avoir réussi à mettre Perrine derrière les barreaux. Mais, à présent qu’il est sorti de prison, celui-ci s’est juré de l’éliminer, lui et tous ceux qui lui sont chers.
Justement, Bennett et ses dix enfants adoptés vivent dans une ferme reculée en Californie, protégés par le FBI.
Bientôt Perrine lance une campagne de diffamation, visant les personnalités les plus connues du pays. Ne disposant d’aucun indice quant à l’endroit où pourrait se cacher Perrine, le FBI décide à faire appel à Bennett…
Mon avis :
Le nouveau James Patterson est sorti ce 7 janvier et j'ai dévoré cet ouvrage tant le rythme est présent et les chapitres courts, donnant une dynamique incontestable à l'ensemble.
Ma découverte de l'auteur s'était faite l'année dernière avec Week-end en enfer que j'avais trouvé parfaitement réussi. Autant vous dire que lorsque je me suis décidée à lire Le sang de mon ennemi, je savais d'avance que j'allais devoir m'organiser de façon à m'immerger totalement dans cette lecture. C'est à dire : ne pas prévoir grand'chose hormis la lecture ! :-)
Et forcément, j'avais raison depuis le début car lorsque vous commencerez ce livre, vous ne pourrez plus le lâcher.
On fait la rencontre de la famille Bennett qui fait l'objet d'une protection policière suite à l'arrestation puis à l'évasion de Perrine, un trafiquant à l'influence importante tant au Mexique qu'aux Etats-Unis.
Ce parrain de la pègre s'est donné pour maître mot, lors de son évasion, d'anéantir non seulement Michael Bennett qui l'avait arrêté mais également ses enfants et leur nounou.
Mais l'objectif de Perrine ne s'arrête pas là et plus on avance dans la lecture plus on vit une situation de plus en plus délicate et même si dans ce genre de roman on sait à peu près, sauf cas très exceptionnel, comment cela va se terminer, cela ne m'a pas empêchée de déguster chaque partie, chaque chapitre avec intensité.
Car le scénario va crescendo et les meurtres bien sanglants se succèdent. C'est assez impressionnant à suivre et j'avoue qu'avoir une adaptation cinématographique ou télévisée sur ce titre là ne serait pas de refus.
En effet, il y a vraiment tout pour en faire un très bon policier : scènes extrêmes, stress évoluant au fur et à mesure que l'on avance, des enfants qui en ont ras le bol d'être dans une ferme loin de tout, un flic qui est obligé de les quitter pour faire sortir le "renard" de son terrier...
Bref, un roman explosif qui fait que le lecteur est plongé dedans sans voir passer les pages et mais aussi les heures tant il est addictif.
Le sang de mon ennemi n'est pas vraiment un roman sur le cartel de la drogue qui change du genre mais il est efficace et très bien maîtrisé par un auteur que j'apprécie vraiment beaucoup vu le bon temps qu'il m'a fait passer. C'est roman que je conseille fortement si vous souhaiter avoir une montée d'adrénaline en ce début d'année 2015 !
L’inspecteur Michael Bennett est le seul flic à avoir réussi à mettre Perrine derrière les barreaux. Mais, à présent qu’il est sorti de prison, celui-ci s’est juré de l’éliminer, lui et tous ceux qui lui sont chers.
Justement, Bennett et ses dix enfants adoptés vivent dans une ferme reculée en Californie, protégés par le FBI.
Bientôt Perrine lance une campagne de diffamation, visant les personnalités les plus connues du pays. Ne disposant d’aucun indice quant à l’endroit où pourrait se cacher Perrine, le FBI décide à faire appel à Bennett…
Mon avis :
Le nouveau James Patterson est sorti ce 7 janvier et j'ai dévoré cet ouvrage tant le rythme est présent et les chapitres courts, donnant une dynamique incontestable à l'ensemble.
Ma découverte de l'auteur s'était faite l'année dernière avec Week-end en enfer que j'avais trouvé parfaitement réussi. Autant vous dire que lorsque je me suis décidée à lire Le sang de mon ennemi, je savais d'avance que j'allais devoir m'organiser de façon à m'immerger totalement dans cette lecture. C'est à dire : ne pas prévoir grand'chose hormis la lecture ! :-)
Et forcément, j'avais raison depuis le début car lorsque vous commencerez ce livre, vous ne pourrez plus le lâcher.
On fait la rencontre de la famille Bennett qui fait l'objet d'une protection policière suite à l'arrestation puis à l'évasion de Perrine, un trafiquant à l'influence importante tant au Mexique qu'aux Etats-Unis.
Ce parrain de la pègre s'est donné pour maître mot, lors de son évasion, d'anéantir non seulement Michael Bennett qui l'avait arrêté mais également ses enfants et leur nounou.
Mais l'objectif de Perrine ne s'arrête pas là et plus on avance dans la lecture plus on vit une situation de plus en plus délicate et même si dans ce genre de roman on sait à peu près, sauf cas très exceptionnel, comment cela va se terminer, cela ne m'a pas empêchée de déguster chaque partie, chaque chapitre avec intensité.
Car le scénario va crescendo et les meurtres bien sanglants se succèdent. C'est assez impressionnant à suivre et j'avoue qu'avoir une adaptation cinématographique ou télévisée sur ce titre là ne serait pas de refus.
En effet, il y a vraiment tout pour en faire un très bon policier : scènes extrêmes, stress évoluant au fur et à mesure que l'on avance, des enfants qui en ont ras le bol d'être dans une ferme loin de tout, un flic qui est obligé de les quitter pour faire sortir le "renard" de son terrier...
Bref, un roman explosif qui fait que le lecteur est plongé dedans sans voir passer les pages et mais aussi les heures tant il est addictif.
Le sang de mon ennemi n'est pas vraiment un roman sur le cartel de la drogue qui change du genre mais il est efficace et très bien maîtrisé par un auteur que j'apprécie vraiment beaucoup vu le bon temps qu'il m'a fait passer. C'est roman que je conseille fortement si vous souhaiter avoir une montée d'adrénaline en ce début d'année 2015 !
il est arrivé dans ma pal, tu me donnes envie de l'en sortir
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