Auteur : Ingrid Desjours
Editions : Plon (2013)
Nbre de pages : 327
Présentation de l'éditeur :
Provocateur, cynique et misogyne, Marc est affecté à la brigade des mœurs après un grave accident. Quand, dans le cadre d'une enquête, il croise la douce Barbara, le policier est troublé par son regard presque candide, touché par cette fragilité que partagent ceux qui reviennent de loin. Ému. Au point de croire de nouveau en l'avenir.
Mais il est aussi persuadé qu'elle est la pièce manquante pour démasquer le psychopathe qu'il traque. Et s'il se trompait ? Le pire des monstres est parfois celui qui s'ignore, quand bien même il rêve sa vie dans les yeux d'une poupée...
Mon avis :
Je n'avais jamais lu Ingrid Desjours jusque là et je n'avais pas forcément envie de commencer avec sa dernière parution. Lorsque je suis allée à ma médiathèque, il y avait ce roman là et le synopsis me tentait bien. Du coup, je l'ai pris et ce que je peux dire c'est que je l'ai dévoré en tout juste 2 jours.
Le résumé parle surtout de Marc, un lieutenant de police qui est affecté à la brigade des moeurs parce que son comportement laisse à désirer. Cet homme a été victime d'un grave accident de voiture dans lequel il a perdu sa femme mais aussi une jambe et de terribles cicatrices sur son corps. Cet homme ne s'aime plus. Il est très froid et j'avoue qu'il m'a fallu pas mal de temps avant de le comprendre...
Mais il y a aussi et surtout Barbara.
Barbara est une histoire à elle toute seule...
Barbara a 24 ans, vit avec sa mère et adore les poupées en porcelaine...
Barbara se fait violer dans un parc parce qu'elle voulait prendre un raccourci pour rentrer chez elle parce qu'elle était en retard et que sa mère allait être terriblement en colère contre elle...
Barbara n'a qu'une amie qui va lui faire oublier tout ce qu'elle a vécu dans ce parc : la poupée en porcelaine qu'elle a achetée juste avant de se faire violer.
Cette poupée est extraordinaire. Cette poupée... lui parle.
Et là les amis, vous allez partir dans une narration froide, sombre, terrible et oppressante.
Je ne me rappelle pas avoir jamais lu un roman aussi... glacial et en faisant mon avis aujourd'hui alors que j'ai terminé le roman il y a presque une semaine, je garde encore cette sensation de mal-être qui emporte le lecteur en découvrant Marc et Barbara.
C'est un thriller psychologique macabre auquel je ne m'attendais pas.
Ingrid Desjours distille des informations sur l'un et l'autre des personnages au compte-goutte. D'ailleurs, si Barbara avait attiré ma sympathie au début, Marc lui était un homme que je n'aimais pas tant il était exécrable.
Et puis, petit à petit, on apprend à les connaître mais l'auteur ne s'arrête pas juste aux horreurs de leur passé. Cela aurait été trop reposant pour le lecteur...
Je me suis dit que je ne pourrai pas aller au bout de cet ouvrage parce qu'on est au bord de la folie.
Et pourtant, je l'ai dévoré en à peine 2 jours.
Malgré tout ce qui se trouve là-dedans, je ne pouvais pas m'empêcher de poursuivre ma lecture. Pourtant, je savais que ce n'était pas sain. Je savais que j'allais prendre une grosse claque et en fait on n'en prend pas qu'une seule mais deux voire même trois...
L'auteur nous surprend à chaque revirement de situation et au final on ne sait plus comment réagir ou que penser de tout ça.
Quand Sa vie dans les yeux d'une poupée a été terminé, je suis restée prostrée et à bout de souffle.
Un très bon thriller qui, pourtant, m'a malmenée et avec lequel j'ai eu du mal à saisir les personnages. Avec du recul, et heureusement que j'en prends avant de faire mes avis, je me rends compte que ce roman est machiavélique. Il y est aussi question d'une poupée en porcelaine. Moi qui n'aime pas particulièrement ces poupées là que je trouve très froides, je peux vous assurer une chose : jamais je n'en achèterai une après avoir lu ce roman ! C'est à vous glacer le sang...
Mon avis :
Je n'avais jamais lu Ingrid Desjours jusque là et je n'avais pas forcément envie de commencer avec sa dernière parution. Lorsque je suis allée à ma médiathèque, il y avait ce roman là et le synopsis me tentait bien. Du coup, je l'ai pris et ce que je peux dire c'est que je l'ai dévoré en tout juste 2 jours.
Le résumé parle surtout de Marc, un lieutenant de police qui est affecté à la brigade des moeurs parce que son comportement laisse à désirer. Cet homme a été victime d'un grave accident de voiture dans lequel il a perdu sa femme mais aussi une jambe et de terribles cicatrices sur son corps. Cet homme ne s'aime plus. Il est très froid et j'avoue qu'il m'a fallu pas mal de temps avant de le comprendre...
Mais il y a aussi et surtout Barbara.
Barbara est une histoire à elle toute seule...
Barbara a 24 ans, vit avec sa mère et adore les poupées en porcelaine...
Barbara se fait violer dans un parc parce qu'elle voulait prendre un raccourci pour rentrer chez elle parce qu'elle était en retard et que sa mère allait être terriblement en colère contre elle...
Barbara n'a qu'une amie qui va lui faire oublier tout ce qu'elle a vécu dans ce parc : la poupée en porcelaine qu'elle a achetée juste avant de se faire violer.
Cette poupée est extraordinaire. Cette poupée... lui parle.
Et là les amis, vous allez partir dans une narration froide, sombre, terrible et oppressante.
Je ne me rappelle pas avoir jamais lu un roman aussi... glacial et en faisant mon avis aujourd'hui alors que j'ai terminé le roman il y a presque une semaine, je garde encore cette sensation de mal-être qui emporte le lecteur en découvrant Marc et Barbara.
C'est un thriller psychologique macabre auquel je ne m'attendais pas.
Ingrid Desjours distille des informations sur l'un et l'autre des personnages au compte-goutte. D'ailleurs, si Barbara avait attiré ma sympathie au début, Marc lui était un homme que je n'aimais pas tant il était exécrable.
Et puis, petit à petit, on apprend à les connaître mais l'auteur ne s'arrête pas juste aux horreurs de leur passé. Cela aurait été trop reposant pour le lecteur...
Je me suis dit que je ne pourrai pas aller au bout de cet ouvrage parce qu'on est au bord de la folie.
Et pourtant, je l'ai dévoré en à peine 2 jours.
Malgré tout ce qui se trouve là-dedans, je ne pouvais pas m'empêcher de poursuivre ma lecture. Pourtant, je savais que ce n'était pas sain. Je savais que j'allais prendre une grosse claque et en fait on n'en prend pas qu'une seule mais deux voire même trois...
L'auteur nous surprend à chaque revirement de situation et au final on ne sait plus comment réagir ou que penser de tout ça.
Quand Sa vie dans les yeux d'une poupée a été terminé, je suis restée prostrée et à bout de souffle.
Un très bon thriller qui, pourtant, m'a malmenée et avec lequel j'ai eu du mal à saisir les personnages. Avec du recul, et heureusement que j'en prends avant de faire mes avis, je me rends compte que ce roman est machiavélique. Il y est aussi question d'une poupée en porcelaine. Moi qui n'aime pas particulièrement ces poupées là que je trouve très froides, je peux vous assurer une chose : jamais je n'en achèterai une après avoir lu ce roman ! C'est à vous glacer le sang...
Il y a longtemps que ce roman me fait envie, ta chronique m'a convaincu, je lirai peut être celui-là avant de commencer La prunelle de ses yeux
RépondreSupprimerJe ne pense pas que ce livre pourrait me plaire parce que je ne suis pas fan des thrillers mais merci pour la découverte :)
RépondreSupprimer