Editions : Presses de la Cité (2011)
Nbre de pages : 386
Présentation de l'éditeur :
Une nuit sans fin s'est abattue sur
la Terre depuis l'apocalypse nucléaire déclenchée par le Maître. Les
vampires, qui ont proliféréà un rythme vertigineux, ont réduit les
humains à l'état de bétail, car, à leurs yeux, seul leur sang a encore
de la valeur.
Un groupe de survivants résiste encore. Mais Ephraïm Goodweather, leur leader, n'est plus que l'ombre de lui-même : il ne s'est jamais remis de l'enlèvement de son fils et de la liaison entre sa petite amie, Nora, et son allié, Fet. Profitant de son désespoir, le Maître lui propose d'épargner son fils en échange del'Occido Lumen. Dans ce très ancien manuscrit, préservé au prix du sacrifice du professeur Setrakian, se trouve la clé pour détruire le Maître. Ephraïm fera-t-il passer la vie de son fils avant le salut de l'humanité ?
Menéà un rythme infernal, ce dernier volet offre à la trilogie « La Lignée » un final magistral.
Un groupe de survivants résiste encore. Mais Ephraïm Goodweather, leur leader, n'est plus que l'ombre de lui-même : il ne s'est jamais remis de l'enlèvement de son fils et de la liaison entre sa petite amie, Nora, et son allié, Fet. Profitant de son désespoir, le Maître lui propose d'épargner son fils en échange del'Occido Lumen. Dans ce très ancien manuscrit, préservé au prix du sacrifice du professeur Setrakian, se trouve la clé pour détruire le Maître. Ephraïm fera-t-il passer la vie de son fils avant le salut de l'humanité ?
Menéà un rythme infernal, ce dernier volet offre à la trilogie « La Lignée » un final magistral.
Mon avis :
J'ai terminé en tout début d'après-midi ce dernier volet de la trilogie "La lignée" et malgré ma lecture très rapide, il n'en demeure pas moins que je suis déçue par ce dernier tome.
Tout avait pourtant relativement bien commencé. J'ai retrouvé avec intérêt et bonheur mes personnages adorés que sont Fet, Nora, Eph et Gus.
Nous nous situons deux ans après le début de l'invasion vampirique par le Maître et la Terre a subi une terrible modification puisque le crépuscule est éternel. C'est un "environnement idéal pour les vampires" De plus, "les conditions post cataclysmiques n'épargnaient aucune région du monde. Aux quatre coins du globe, les témoiganges évoquaient un ciel obscur, une pluie noire, des nuages menaçants qui s'entrelaçaient pour ne jamais se séparer."
Le soleil n'arrive à percer que très difficilement cette masse compacte, comme la lumière d'une lampe torche à travers une couverture épaisse, que 2-3 heures par jour.
Autant dire que les moments que vont passer nos rebelles vont être extrêmement difficiles d'autant que les humains sont devenus purement et simplement les esclaves des strigoïs. Des camps ont été construits et certains humains sont à la solde des vampires.
En gros, tout part très très mal pour arriver à sauver l'humanité toute entière. D'autant qu'ils ne sont qu'une petite poignée d'hommes et de femme pour arriver à supprimer toute cette mauvaise vermine.
J'étais enthousiaste et excitée de savoir comment tout allait se préparer pour qu'enfin les Hommes redeviennent libres.
Si l'action est relativement présente, ce n'est que par moment et j'ai trouvé que cela s'essoufflait au fur et à mesure que je progressais dans l'ouvrage. Les auteurs ont décidé dans ce dernier volume de dresser la mythologie vampirique et certains passages sont très longs même s'ils demeurent intéressants pour comprendre comment le Maître s'est transformé, comment l'humanité a été bernée par les Aînés et comment il va falloir procéder pour vaincre ce vampire indestructible de prime abord.
Même si je lisais très vite, il n'en demeurait pas moins que j'étais en attente de plus d'action, de plus de stress, de scènes qui vous mettent les nerfs à fleur de peau et de montée d'adrénaline. Bien sûr, certains passages le sont, un peu, mais pas suffisamment à mon goût ou du moins je m'attendais à trop à ce qui allait se passer. Du coup, la sauce n'a pas vraiment prise et je garde un goût amer de cette lecture.
De plus, la fin m'a paru très longue et j'avoue que sur les dernières cinquante pages, j'ai sauté une bonne vingtaine de pages pour arriver plus vite au dénouement et à l'épilogue. J'ai trouvé qu'il y avait trop de remplissage. Del Toro & Hogan mettaient trop de temps avant la scène finale. Ca tournait un peu en rond comme dans ces films américains où l'on sait déjà comment cela va se terminer mais que le héros met du temps avant de faire sa dernière action. Cela m'a achevée et je n'ai pas hésité à pousser un grand soupir et à tourner les pages plus vites pour arriver là où cela m'intéressait.
Le style demeure toujours aussi accrocheur et très visuel. Comme dans les autres volumes, les auteurs nous font voyager dans tout New-York et Manhattan pour que le lecteur ne perde rien de ce qui s'y passe que ce soit du côté des rebelles ou de celui du Maître. C'est une routine maintenant mais ça marche toujours aussi bien.
En bref, une trilogie que je suis contente d'avoir découverte surtout que la fin du tome 2 donne très envie de poursuivre mais le dernier tome perd un peu en action et j'ai trouvé cela dommage. On découvre une mythologie vampirique qui peu laisser perplexe et une Société où peu d'humains aimeraient vivre. De ce dernier point de vu cela fait froid dans le dos et heureusement ce n'est que de la fiction.
Il faut vraiment que je découvre le premier tome, mais j'ai tellement peur d'être déçu. Ben oui, moi avec les vampires, c'est soit j'adore (comme Dracula de Stoker ou la saga des vampires d'Anne Rice) soit je déteste (en général la Bit-Lit)...
RépondreSupprimerEnfin, je croise les doigts pour que cela ressemble plus à du Anne Rice ! Bisous ma belle