Editions : Nathan (2012)
Nbre de pages : 283
Présentation de l'éditeur :
Dix-neuf fois Colin est tombé amoureux. Dix-neuf fois la fille s'appelait
Katherine. Pas Katie, ni Kat, ni Kittie, ni Cathy, et surtout pas
Catherine, mais Katherine. Et dix-neuf fois, il s'est fait larguer.
Mon avis :
J'ai lu l'ouvrage de John Green en à peine 2 jours. Malgré une bonne présentation de l'éditeur et un début de lecture intéressant, au fur et à mesure que je progressais dans le livre, mon intérêt s'est émoussé et j'ai trouvé certains passages beaucoup trop longs à mon goût.
On suit Colin, âgé de 17 ans et venant d'avoir son bac, alors qu'il vient d'être largué pour la dix-neuvième fois par une Katherine. Il est totalement effondré et broie du noir à longueur de journée. Il n'a envie de voir personne sauf que son ami Hassan est bien décidé à lui rendre le moral. Pour ce faire, il ne voit qu'une solution : "une virée en bagnole".
C'est à travers ce voyage jusqu'au Tennessee que l'on va découvrir Colin mais aussi Hassan et comment ils se perçoivent eux-mêmes.
L'un se fait larguer sans arrêt par des Katherine (parce qu'il est persuadé qu'il doit faire sa vie avec une fille qui portera ce prénom là et avec cette écriture là) et l'autre n'a jamais embrassé de fille de sa vie. En bref, leur existence n'est pas facile.
Avec une écriture totalement décalée et un humour plutôt cynique, John Green aborde le problème de l'adolescence et des difficultés que ces jeunes rencontrent : le désir de plaire, de rencontrer quelqu'un qui les verra d'un oeil différent des autres...
Le fameux théorème que Colin souhaite trouver m'a finalement déroutée voire même paumée.
Je pensais que l'auteur raconterait les différentes rencontres que Colin avait fait avec ses fameuses Katherine et qu'il en tirerait des conclusions qui lui permettraient d'établir son théorème. Or, ce n'est pas le cas du tout.
Colin établit son théorème en fonction de certains critères mais à aucun moment il ne nous présente ses anciennes petites-amies. Seules Katherine 1 et Katherine 19 font vraiment partie de la narration. On comprend à la fin pourquoi mais j'aurais aussi aimé découvrir les autres.
J'avoue aussi que lors de ses explications pour établir son théorème, j'ai été très mal menée au fur et à mesure que j'avançais. J'ai fini par totalement perdre pied et ne plus rien comprendre. Je trouvais que c'était très long et j'ai vraiment décroché sur ces parties là.
Par contre, les questionnements de Colin et l'aide de son ami Hassan pour trouver des solutions à ses problèmes m'ont beaucoup plu. Au final, c'est un jeune qui se cherche et qui, bien sûr, finit par se trouver.
Je pense qu'il aurait été beaucoup plus simple et judicieux de partir dans un autre genre d'histoire que celui du fameux théorème pour ne pas perdre le lecteur. D'ailleurs, je ne conseille pas cet ouvrage à des jeunes trop jeunes justement.
Il y a aussi des notes en bas de pages pour expliquer certains termes ou situations mais si j'ai adhéré à ces notes en début de lecture, j'ai vite arrêté de les lire au bout d'un moment. Un peu d'humour fait du bien mais quand c'est trop, c'est trop. Cela alourdissait encore plus le livre et mis à part pour certains termes arabes que je souhaitais comprendre, les notes, au final, ne m'ont servi à rien.
En somme, c'est une lecture facile, abordable si l'on n'est pas trop jeune (je le conseillerai aux environs de 14 ans) mais qui pour ma part ne m'a pas convaincue.
Mon avis :
J'ai lu l'ouvrage de John Green en à peine 2 jours. Malgré une bonne présentation de l'éditeur et un début de lecture intéressant, au fur et à mesure que je progressais dans le livre, mon intérêt s'est émoussé et j'ai trouvé certains passages beaucoup trop longs à mon goût.
On suit Colin, âgé de 17 ans et venant d'avoir son bac, alors qu'il vient d'être largué pour la dix-neuvième fois par une Katherine. Il est totalement effondré et broie du noir à longueur de journée. Il n'a envie de voir personne sauf que son ami Hassan est bien décidé à lui rendre le moral. Pour ce faire, il ne voit qu'une solution : "une virée en bagnole".
C'est à travers ce voyage jusqu'au Tennessee que l'on va découvrir Colin mais aussi Hassan et comment ils se perçoivent eux-mêmes.
L'un se fait larguer sans arrêt par des Katherine (parce qu'il est persuadé qu'il doit faire sa vie avec une fille qui portera ce prénom là et avec cette écriture là) et l'autre n'a jamais embrassé de fille de sa vie. En bref, leur existence n'est pas facile.
Avec une écriture totalement décalée et un humour plutôt cynique, John Green aborde le problème de l'adolescence et des difficultés que ces jeunes rencontrent : le désir de plaire, de rencontrer quelqu'un qui les verra d'un oeil différent des autres...
Le fameux théorème que Colin souhaite trouver m'a finalement déroutée voire même paumée.
Je pensais que l'auteur raconterait les différentes rencontres que Colin avait fait avec ses fameuses Katherine et qu'il en tirerait des conclusions qui lui permettraient d'établir son théorème. Or, ce n'est pas le cas du tout.
Colin établit son théorème en fonction de certains critères mais à aucun moment il ne nous présente ses anciennes petites-amies. Seules Katherine 1 et Katherine 19 font vraiment partie de la narration. On comprend à la fin pourquoi mais j'aurais aussi aimé découvrir les autres.
J'avoue aussi que lors de ses explications pour établir son théorème, j'ai été très mal menée au fur et à mesure que j'avançais. J'ai fini par totalement perdre pied et ne plus rien comprendre. Je trouvais que c'était très long et j'ai vraiment décroché sur ces parties là.
Par contre, les questionnements de Colin et l'aide de son ami Hassan pour trouver des solutions à ses problèmes m'ont beaucoup plu. Au final, c'est un jeune qui se cherche et qui, bien sûr, finit par se trouver.
Je pense qu'il aurait été beaucoup plus simple et judicieux de partir dans un autre genre d'histoire que celui du fameux théorème pour ne pas perdre le lecteur. D'ailleurs, je ne conseille pas cet ouvrage à des jeunes trop jeunes justement.
Il y a aussi des notes en bas de pages pour expliquer certains termes ou situations mais si j'ai adhéré à ces notes en début de lecture, j'ai vite arrêté de les lire au bout d'un moment. Un peu d'humour fait du bien mais quand c'est trop, c'est trop. Cela alourdissait encore plus le livre et mis à part pour certains termes arabes que je souhaitais comprendre, les notes, au final, ne m'ont servi à rien.
En somme, c'est une lecture facile, abordable si l'on n'est pas trop jeune (je le conseillerai aux environs de 14 ans) mais qui pour ma part ne m'a pas convaincue.
ah tiens....j'ai failli l'acheter hier car il faisait parti de la sélection coup de cœur à carrefour !j'ai bien fait de m'abstenir alors ! lol
RépondreSupprimerAh c'est dommage, Green peut être tellement bon ! j'ai de toute façon d'autres titres de lui à lire avant ça mais j'y jetterai peut être un œil quand même à l'occasion, vu la rapidité de lecture ^^
RépondreSupprimerPas convaincue non plus...
RépondreSupprimerJ'ai hâte de découvrir cet auteur, je viens d'acheter Qui es-tu Alaska ? et Will & will, et j'ai commandé The fault in our stars. J'espère qu'ils me plairont quand même !
RépondreSupprimerLui qui me tentait, j'hésite maintenant. Je crois que je le tenterai mais bon, j'en attends moins...
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