Auteur : Arno Strobel
Editions : L'Archipel (2018)
Nbre de pages : 311
Présentation de l'éditeur :
L’enlèvement de son fils... Sa fuite nocturne a travers le parc... Le coup sur la tête... A son réveil d’un coma de deux mois, Sibylle a l’impression de se souvenir de tout. Elle a 34 ans, vit avec son mari dans une ville voisine.
Étrangement, le médecin a son chevet lui assure qu’elle n’a jamais eu d’enfant. Sibylle décide alors de fuir l’hôpital en pleine nuit pour rentrer chez elle.
Une automobiliste stoppe et la raccompagne jusqu’a son domicile. Mais, lorsque son mari ouvre la porte, il ne la reconnaît pas, malgré les détails intimes qu’elle lui livre.
A qui Sibylle peut-elle faire encore confiance ? Et qui est-elle vraiment ?
Avec Souvenirs effacés, le thriller qui l’a propulse au premier rang des maîtres allemands du suspense, Arno Strobel signe un roman qui vous fera douter de tout, jusqu’au bout.
Mon avis :
Après avoir lu et adoré son précédent roman (Enterrées vivantes), il me tardait de lire ce nouvel opus de l'auteur. Le résumé était très tenant et le début très prometteur.
Nous vivons l'histoire aux cotés de Sybille qui se rappelle avoir vécu l'enlèvement de son fil. Mais lorsqu'elle se réveille d'un coma ayant duré deux mois, aux dires des médecins, elle ne sait plus vraiment ce qu'il s'est passé. La seule certitude qu'elle garde, c'est d'être mariée et d'avoir un fils. Pourtant, lorsqu'elle va parvenir à rentrer chez elle, son soit-disant mari ne la reconnaît pas. Ses certitudes vont alors vaciller et Sybille va tout faire pour savoir ce qui lui est vraiment arrivée...
Il y avait beaucoup de choses dans ce titre pour qu'une nouvelle fois, je sois emportée dans une histoire de fou qui devait m'embarquer jusqu'au dénouement final. J'attendais d'être clouée sur place en apprenant ce qui s'était passé autour de Sybille et frissonner sur la possibilité que cela puisse se produire dans la réalité.
Si j'ai effectivement adhéré à la première moitié du roman qui rend le lecteur addictif par toutes les questions qu'il va se poser, la seconde m'a surprise (et pas dans le bon sens) et surtout déconcertée tant le chemin que prend l'intrigue est... abracadabrant !
Ce n'est absolument pas crédible et même si l'auteur essaie de faire quelques twists avec les personnages pour garder son lecteur accroché à son roman, honnêtement il a fait chou blanc avec moi, même si je suis allée au bout de ce titre.
En fait, plus je voyais la fin arriver et plus je fronçais les sourcils et je soupirais d'insatisfaction, de frustration et d'incompréhension par la tournure que prenait les évènements.
Cela n' a aucun sens, au point qu'à 50 pages de la fin, il a fallu que je me motive vraiment pour le terminer.
Du coup, je sors forcément déçue de cette lecture dont j'attendais tellement parce que "Enterrées vivantes" avait été une excellente lecture et que je voulais la même chose avec ce titre là.
Force est de constater que "Souvenirs effacés" démarre très bien et nous met sur les dents jusqu'au moment où ça part en cacahuètes et c'est bien dommage !
Nous vivons l'histoire aux cotés de Sybille qui se rappelle avoir vécu l'enlèvement de son fil. Mais lorsqu'elle se réveille d'un coma ayant duré deux mois, aux dires des médecins, elle ne sait plus vraiment ce qu'il s'est passé. La seule certitude qu'elle garde, c'est d'être mariée et d'avoir un fils. Pourtant, lorsqu'elle va parvenir à rentrer chez elle, son soit-disant mari ne la reconnaît pas. Ses certitudes vont alors vaciller et Sybille va tout faire pour savoir ce qui lui est vraiment arrivée...
Il y avait beaucoup de choses dans ce titre pour qu'une nouvelle fois, je sois emportée dans une histoire de fou qui devait m'embarquer jusqu'au dénouement final. J'attendais d'être clouée sur place en apprenant ce qui s'était passé autour de Sybille et frissonner sur la possibilité que cela puisse se produire dans la réalité.
Si j'ai effectivement adhéré à la première moitié du roman qui rend le lecteur addictif par toutes les questions qu'il va se poser, la seconde m'a surprise (et pas dans le bon sens) et surtout déconcertée tant le chemin que prend l'intrigue est... abracadabrant !
Ce n'est absolument pas crédible et même si l'auteur essaie de faire quelques twists avec les personnages pour garder son lecteur accroché à son roman, honnêtement il a fait chou blanc avec moi, même si je suis allée au bout de ce titre.
En fait, plus je voyais la fin arriver et plus je fronçais les sourcils et je soupirais d'insatisfaction, de frustration et d'incompréhension par la tournure que prenait les évènements.
Cela n' a aucun sens, au point qu'à 50 pages de la fin, il a fallu que je me motive vraiment pour le terminer.
Du coup, je sors forcément déçue de cette lecture dont j'attendais tellement parce que "Enterrées vivantes" avait été une excellente lecture et que je voulais la même chose avec ce titre là.
Force est de constater que "Souvenirs effacés" démarre très bien et nous met sur les dents jusqu'au moment où ça part en cacahuètes et c'est bien dommage !
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