Auteur : Louise Tremblay d'Essiambre
Editions : Charleston (2018)
Nbre de pages : 544
Présentation de l'éditeur :
Nous voici au XIXe siècle, sur les rives du Saint-Laurent, là où le fleuve se mêle à la mer. Deux rives : celle du nord, aride, majestueuse, faite de falaises et de plages ; celle du sud, tout en vallons, en prés verdoyants et en terres fertiles. Des couples et leur famille : Alexandrine et Clovis, Albert et Victoire, Emma et Matthieu, ainsi que James O'Connor, Irlandais immigré, seul membre de sa famille ayant survécu à la traversée.
Ces personnages plus grands que nature, plus vrais que la rudesse de l'hiver, plus émouvants que les larmes et les sourires qui se succèdent au rythme des marées, peuplent le premier tome des Héritiers du fleuve, une saga incomparable comme seule Louise Tremblay d'Essiambre sait en créer.
Mon avis :
Encore un roman québécois que j'étais contente de pouvoir découvrir et qui m'a fait voyager au Canada du XIXème et début XXème siècle.
On y suit trois familles de trois amies et on va vivre une belle aventure dans ces contrées lointaines et très étendues voire un brin sauvages.
Les pages filent très vite parce que l'écriture de Louise Tremblay d'Essiambre est fluide et accrocheuse.
Malgré tout, j'ai trouvé que l'histoire était un peu trop tranquille à mon goût. On suit les uns et les autres pendant de nombreuses années mais il me manquait un peu de pep's.
C'est surtout sur la dernière partie que j'ai eu un peu plus d'action et que j'étais surprise par certains personnages.
Parmi les trois couples, j'ai beaucoup plus accroché à celui formé par Albert et Victoire, même si le couple d'Alexandrine et Clovis n'a rien à lui envier.
En fait, et c'est tout bête, Victoire est pâtissière et j'adorais me retrouver dans sa cuisine, à ses côtés, lorsqu'elle pâtissait...
Sinon, globalement, le roman est intéressant et se laisse lire très facilement, même si les dialogues nous plongent dans le dialecte québécois et risque peut-être d'en déconcerter certains au départ.
En ce qui me concerne, j'adorais les imaginer me parler avec cet accent que j'adore.
La fin donne très envie d'avoir la suite par savoir ce qui va arriver à ceux qui restent et leurs descendants.
Même si je n'ai pas eu de coup de coeur particulier, j'ai quand même passé un très bon moment aux côtés de ces personnages que la vie et la nature n'épargne pas.
Vivement le printemps 2019 pour avoir le tome 2 entre les mains.
On y suit trois familles de trois amies et on va vivre une belle aventure dans ces contrées lointaines et très étendues voire un brin sauvages.
Les pages filent très vite parce que l'écriture de Louise Tremblay d'Essiambre est fluide et accrocheuse.
Malgré tout, j'ai trouvé que l'histoire était un peu trop tranquille à mon goût. On suit les uns et les autres pendant de nombreuses années mais il me manquait un peu de pep's.
C'est surtout sur la dernière partie que j'ai eu un peu plus d'action et que j'étais surprise par certains personnages.
Parmi les trois couples, j'ai beaucoup plus accroché à celui formé par Albert et Victoire, même si le couple d'Alexandrine et Clovis n'a rien à lui envier.
En fait, et c'est tout bête, Victoire est pâtissière et j'adorais me retrouver dans sa cuisine, à ses côtés, lorsqu'elle pâtissait...
Sinon, globalement, le roman est intéressant et se laisse lire très facilement, même si les dialogues nous plongent dans le dialecte québécois et risque peut-être d'en déconcerter certains au départ.
En ce qui me concerne, j'adorais les imaginer me parler avec cet accent que j'adore.
La fin donne très envie d'avoir la suite par savoir ce qui va arriver à ceux qui restent et leurs descendants.
Même si je n'ai pas eu de coup de coeur particulier, j'ai quand même passé un très bon moment aux côtés de ces personnages que la vie et la nature n'épargne pas.
Vivement le printemps 2019 pour avoir le tome 2 entre les mains.
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