Auteure : Madeleine Mansiet-Berthaud
Editions : Presses de la Cité (Mai 2019)
Collection : Terres de France
Nbre de pages : 352
Présentation de l'éditeur :
Son passé, Claudia croyait l'avoir enfoui à l'abri des grilles du parc de la Ténarèze. Le lierre et le chèvrefeuille tapissent aujourd'hui les murs de cette demeure autrefois la plus belle d'Eauze.
Dans ce village gersois d'origine gallo-romaine, chaque pierre raconte une histoire. Celle de Claudia, née avec le siècle, est marquée par la disparition inexpliquée de son mari Paulin, quarante-cinq ans plus tôt. Pour une autre, un ailleurs ? Nul ne sait. Depuis, Claudia a perdu son sourire, se terre dans une solitude dont elle a fait un rempart, et vit parmi ses souvenirs : son amour pour Paulin, pourtant si jaloux, leur gîte ouvert aux pèlerins de Compostelle...
Quand, ce jour de septembre 1983, le maire vient lui exposer son projet pour la Ténarèze, Claudia devine qu'il s'agit d'une expropriation. Que l'on investisse son parc, jamais ! Ce sera son dernier combat : préserver ses murs, son passé, ses secrets...
Mon avis :
Dans ce roman, nous allons découvrir le passé de Claudia, octogénaire, qui va voir sa vie perturbée par l'envie du maire du village de faire de la Ténarèze une maison de retraite dans laquelle, bien sûr, Claudia aura sa place.
L'histoire est agréable à lire et à suivre et j'ai été curieuse de savoir ce qui était arrivé à Paulin, le mari dont Claudia n'a plus eu de nouvelles du jour au lendemain...
On entre dans un passé rempli de secrets avec des personnages sympathiques et on vit un présent difficile à vivre pour cette femme de 83 ans qui voit l'expropriation arriver trop vite.
Son refus de partir de chez elle est dû au secret de son passé autant qu'à son attachement à ce lieu dans lequel elle a toujours vécu.
L'auteure le rend très bien et le lecteur a toujours cette envie de savoir ce qu'il s'est passé, même si on finit par s'en douter avant la fin.
D'ailleurs, s'agissant de cette fin, j'ai trouvé l'explication trop expéditive et trop facile. Par rapport au reste du roman, c'est bien dommage parce qu'on a une impression de vouloir finir ce roman trop vite.
J'aurais aimé un peu plus de suspense sur cette révélation, que l'auteure prenne un peu plus son temps mais non. De ce côté là, je vous l'avoue, j'ai été déçue alors même que je m'en doutais.
Cela dit, l'ensemble est bien construit, les personnages sont agréables à suivre et le style parfaitement adapté à cette période de canicule car très simple et très fluide.
C'est un roman parfait pour se détendre cet été.
L'histoire est agréable à lire et à suivre et j'ai été curieuse de savoir ce qui était arrivé à Paulin, le mari dont Claudia n'a plus eu de nouvelles du jour au lendemain...
On entre dans un passé rempli de secrets avec des personnages sympathiques et on vit un présent difficile à vivre pour cette femme de 83 ans qui voit l'expropriation arriver trop vite.
Son refus de partir de chez elle est dû au secret de son passé autant qu'à son attachement à ce lieu dans lequel elle a toujours vécu.
L'auteure le rend très bien et le lecteur a toujours cette envie de savoir ce qu'il s'est passé, même si on finit par s'en douter avant la fin.
D'ailleurs, s'agissant de cette fin, j'ai trouvé l'explication trop expéditive et trop facile. Par rapport au reste du roman, c'est bien dommage parce qu'on a une impression de vouloir finir ce roman trop vite.
J'aurais aimé un peu plus de suspense sur cette révélation, que l'auteure prenne un peu plus son temps mais non. De ce côté là, je vous l'avoue, j'ai été déçue alors même que je m'en doutais.
Cela dit, l'ensemble est bien construit, les personnages sont agréables à suivre et le style parfaitement adapté à cette période de canicule car très simple et très fluide.
C'est un roman parfait pour se détendre cet été.
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