Editions : Les Nouveaux Auteurs (2012)
Nbre de pages : 346
Présentation de l'éditeur :
La Guilde pérégrine, la plus puissante société secrète du Moyen-Age a un
nouveau grand maître : Lady Rowena de Windermere. Mais un félon au sein
de l’organisation veut l’éliminer pour prendre le pouvoir et conquérir
l’Europe entière. Ironie du sort, les deux seules personnes en mesure de
l’arracher à la mort sont aussi ses deux plus cruels ennemis : Wilhiam,
qui l’avait trahie par le passé et sa sœur jumelle Agnès, qui la hait.
Alors qu’une guerre entre le royaume de France et celui d’Angleterre se
prépare en Terre cathare, accepteront-ils de s’allier pour sauver sa
vie, et éviter le chaos en Occident ?
Mon avis :
Comment tomber de haut après avoir lu l'ouvrage précédent du même auteur qui m'avait totalement conquise ? Lire Lady A, tout simplement !
Alors que Lady R était une très bonne découverte (mon article est ici), Lady A a été une totale débâcle pour moi.
Je n'ai rien retrouvé de ce qui m'avait scotchée à l'ouvrage précédent dans cette fameuse suite que j'attendais si impatiemment.
J'ai trouvé l'ensemble de l'intrigue cousue de fil blanc et tout est beaucoup trop prévisible. Je n'ai jamais eu de surprise en le lisant page après page. Pourtant, ce n'était pas faute d'attendre le passage parfait qui rendrait ma lecture enfin intéressante. Mais que nenni ! Rien n'est arrivé.
Sur près de la moitié du livre, on suit davantage Safir que Rowena ou Agnès. D'abord à Venise, puis sur la route devant le mener à Paris pour une raison que je ne dévoilerai pas pour ne pas spolier; on fait partie du voyage, en long, en large et en travers.
Je n'ai pas trouvé que suivre Safir dans ces déplacements ou avoir des descriptions des festivités qui s'organisaient dans les villes de l'époque m'apportaient quelque chose dans l'intrigue. Pour moi, cela faisait plus du remplissage qu'autre chose.
Ce que j'attendais vraiment de Lady A c'était du suspense à outrance, des courses poursuites, des complots en veux-tu en voilà... Comme je l'avais eu dans Lady R.
Or, ce n'est pas du tout le cas et j'en suis trèèès déçue et en colère devant ce que j'ai lu.
Lady A c'est une continuité en quelque sorte mais c'est surtout une nouvelle aventure où l'on retrouve les personnages de Lady R mais dont l'ensemble n'offre pas du tout la précision de l'opus précédent et c'est bien dommage.
Certains vont me dire trop dure et je risque d'avoir des commentaires venimeux. Mais peu importe. Je reste maîtresse de mes avis et de ma déception qui, à l'égard de Lady A, est énorme.
Ce deuxième ouvrage a un très bon potentiel mais l'auteur est allé beaucoup trop vite à mon goût et s'est laissé aller à la facilité aussi. Très honnêtement, en lisant Lady A je croyais lire du Harlequin !!
En bref, cette lecture n'a pas été à la hauteur de mes attentes et j'espère que tout ceux qui ont aimé Lady R autant que moi arriveront à apprécier davantage cette "suite" alors que je n'y suis pas du tout parvenue. C'est une très grosse déconvenue et j'en sors très frustrée.
Mon avis :
Comment tomber de haut après avoir lu l'ouvrage précédent du même auteur qui m'avait totalement conquise ? Lire Lady A, tout simplement !
Alors que Lady R était une très bonne découverte (mon article est ici), Lady A a été une totale débâcle pour moi.
Je n'ai rien retrouvé de ce qui m'avait scotchée à l'ouvrage précédent dans cette fameuse suite que j'attendais si impatiemment.
J'ai trouvé l'ensemble de l'intrigue cousue de fil blanc et tout est beaucoup trop prévisible. Je n'ai jamais eu de surprise en le lisant page après page. Pourtant, ce n'était pas faute d'attendre le passage parfait qui rendrait ma lecture enfin intéressante. Mais que nenni ! Rien n'est arrivé.
Sur près de la moitié du livre, on suit davantage Safir que Rowena ou Agnès. D'abord à Venise, puis sur la route devant le mener à Paris pour une raison que je ne dévoilerai pas pour ne pas spolier; on fait partie du voyage, en long, en large et en travers.
Je n'ai pas trouvé que suivre Safir dans ces déplacements ou avoir des descriptions des festivités qui s'organisaient dans les villes de l'époque m'apportaient quelque chose dans l'intrigue. Pour moi, cela faisait plus du remplissage qu'autre chose.
Ce que j'attendais vraiment de Lady A c'était du suspense à outrance, des courses poursuites, des complots en veux-tu en voilà... Comme je l'avais eu dans Lady R.
Or, ce n'est pas du tout le cas et j'en suis trèèès déçue et en colère devant ce que j'ai lu.
Lady A c'est une continuité en quelque sorte mais c'est surtout une nouvelle aventure où l'on retrouve les personnages de Lady R mais dont l'ensemble n'offre pas du tout la précision de l'opus précédent et c'est bien dommage.
Certains vont me dire trop dure et je risque d'avoir des commentaires venimeux. Mais peu importe. Je reste maîtresse de mes avis et de ma déception qui, à l'égard de Lady A, est énorme.
Ce deuxième ouvrage a un très bon potentiel mais l'auteur est allé beaucoup trop vite à mon goût et s'est laissé aller à la facilité aussi. Très honnêtement, en lisant Lady A je croyais lire du Harlequin !!
En bref, cette lecture n'a pas été à la hauteur de mes attentes et j'espère que tout ceux qui ont aimé Lady R autant que moi arriveront à apprécier davantage cette "suite" alors que je n'y suis pas du tout parvenue. C'est une très grosse déconvenue et j'en sors très frustrée.
Oh dommage ! J'espère qu'il me plaira plus qu'à toi quand je le lirai en avril.
RépondreSupprimer@ Frankie : je l'espère pour toi. En tout cas, je vais surveiller ton avis de près ;)
RépondreSupprimerAIE...Je le découvrirai en avril avec Frankie!!
RépondreSupprimerJe me ferai mon avis en connaissance de cause! Merci à toi ma belle!