Auteur : Dominique Drouin
Editions : Hugo & Cie (2015)
Collection : Hugo Roman
Nbre de pages : 320
Présentation de l'éditeur :
Années 1970. Ava Gauthier, fille biologique d'Anaïs Calvino, a été adoptée par une famille aimante, mais bien différente des Calvino. Éleveurs de chevaux, les Gauthier n'ont pas manqué de générosité et d'amour avec Ava, mais ce sont des taiseux et ont peu de moyens, alors que les Calvino vivent dans un tout autre univers. Faisant la connaissance de cette autre famille lors des funérailles de la doyenne, Ava réalise rapidement que dans aucune des deux elle n'est à sa place. Et les retrouvailles avec sa mère, Anaïs, ne sont pas des plus faciles. Heureusement qu'avec Ariane, sa grand-mère, un lien solide se crée. Ariane la prend sous son aile et décide de l'aider à parfaire son éducation. Accueillie, entourée et motivée par elle, Ava trouve enfin sa voix dans l'écriture pour la jeunesse. Rapidement une auteure à succès, Ava ne trouvera pas la même satisfaction dans sa vie amoureuse et familiale et vivra certaines difficultés. Décidée à tout quitter, Ava s'installera en Provence, terre de naissance d'Alice, son arrière grand- mère, et trouvera enfin l'amour, le vrai. Ainsi, De mères en filles boucle la boucle en revisitant les lieux où tout a commencé...
Mon avis :
Après avoir terminé le tome portant sur Anaïs, je ne pouvais faire autrement qu'enchaîner avec celui consacré à sa fille, Ava.
Si Anaïs a été le personnage qui m'a le moins plus sur l'ensemble de la saga, celui d'Ava est vraiment intéressant et poignant à suivre.
Cette enfant démarre sa vie dans une famille pour le moins particulière mais très aimante. Sa mère, surtout, tient à sa fille adoptive comme à un véritable trésor. Mais Catherine a un mal qui la ronge et Ava devra vivre avec des scènes terribles à supporter.
Ava deviendra une jeune fille puis une jeune femme combattive et prête à tout pour mener à bien ses objectifs.
Sa rencontre avec sa mère biologique ne sera pas idyllique, loin de là mais grâce à sa grand-mère maternelle, Ariane, Ava va se découvrir une véritable passion pour tout ce qui touche à la création artistique, tout comme le reste des femmes que j'ai rencontrées dans chaque ouvrage.
Ava, elle, s'épanouira dans le domaine de la jeunesse et j'ai encore été enchantée de pouvoir voir l'évolution des techniques mais également des ouvrages proposés aux jeunes entre la fin des années 1980 et les années 2000.
L'écriture reste toujours aussi addictive et plaisante. Encore une fois, je n'ai pas pu me détacher de ce bouquin avant de l'avoir terminé et je suis triste de quitter toutes ces femmes que j'ai appris à connaître et à apprécier.
Ce dernier tome se termine d'une façon à laquelle je ne m'attendais absolument pas et j'avoue que cela m'a chamboulée mais d'une certaine manière cela permet aussi de parfaitement clôturer cette série.
Comme je l'indiquais dans mon avis précédent sur le tome 3, cette saga est vraiment très intéressante et magnifique à suivre dans chaque tome développant un personnage féminin bien précis. Tout au long de ces quatre tomes, j'ai appris à aimer ces personnages ou non, être marquée par ce qui leur arrive, à espérer que cela se termine bien, à espérer encore un autre tome pour que ça ne s'arrête jamais. On finit par faire partie de cette famille, connue par la fameuse Alice que je ne suis pas prête d'oublier.
Mes avis sur :
- Alice (tome 1)
- Ariane (tome 2)
- Anaïs (tome 3)
Editions : Hugo & Cie (2015)
Collection : Hugo Roman
Nbre de pages : 320
Présentation de l'éditeur :
Années 1970. Ava Gauthier, fille biologique d'Anaïs Calvino, a été adoptée par une famille aimante, mais bien différente des Calvino. Éleveurs de chevaux, les Gauthier n'ont pas manqué de générosité et d'amour avec Ava, mais ce sont des taiseux et ont peu de moyens, alors que les Calvino vivent dans un tout autre univers. Faisant la connaissance de cette autre famille lors des funérailles de la doyenne, Ava réalise rapidement que dans aucune des deux elle n'est à sa place. Et les retrouvailles avec sa mère, Anaïs, ne sont pas des plus faciles. Heureusement qu'avec Ariane, sa grand-mère, un lien solide se crée. Ariane la prend sous son aile et décide de l'aider à parfaire son éducation. Accueillie, entourée et motivée par elle, Ava trouve enfin sa voix dans l'écriture pour la jeunesse. Rapidement une auteure à succès, Ava ne trouvera pas la même satisfaction dans sa vie amoureuse et familiale et vivra certaines difficultés. Décidée à tout quitter, Ava s'installera en Provence, terre de naissance d'Alice, son arrière grand- mère, et trouvera enfin l'amour, le vrai. Ainsi, De mères en filles boucle la boucle en revisitant les lieux où tout a commencé...
Mon avis :
Après avoir terminé le tome portant sur Anaïs, je ne pouvais faire autrement qu'enchaîner avec celui consacré à sa fille, Ava.
Si Anaïs a été le personnage qui m'a le moins plus sur l'ensemble de la saga, celui d'Ava est vraiment intéressant et poignant à suivre.
Cette enfant démarre sa vie dans une famille pour le moins particulière mais très aimante. Sa mère, surtout, tient à sa fille adoptive comme à un véritable trésor. Mais Catherine a un mal qui la ronge et Ava devra vivre avec des scènes terribles à supporter.
Ava deviendra une jeune fille puis une jeune femme combattive et prête à tout pour mener à bien ses objectifs.
Sa rencontre avec sa mère biologique ne sera pas idyllique, loin de là mais grâce à sa grand-mère maternelle, Ariane, Ava va se découvrir une véritable passion pour tout ce qui touche à la création artistique, tout comme le reste des femmes que j'ai rencontrées dans chaque ouvrage.
Ava, elle, s'épanouira dans le domaine de la jeunesse et j'ai encore été enchantée de pouvoir voir l'évolution des techniques mais également des ouvrages proposés aux jeunes entre la fin des années 1980 et les années 2000.
L'écriture reste toujours aussi addictive et plaisante. Encore une fois, je n'ai pas pu me détacher de ce bouquin avant de l'avoir terminé et je suis triste de quitter toutes ces femmes que j'ai appris à connaître et à apprécier.
Ce dernier tome se termine d'une façon à laquelle je ne m'attendais absolument pas et j'avoue que cela m'a chamboulée mais d'une certaine manière cela permet aussi de parfaitement clôturer cette série.
Comme je l'indiquais dans mon avis précédent sur le tome 3, cette saga est vraiment très intéressante et magnifique à suivre dans chaque tome développant un personnage féminin bien précis. Tout au long de ces quatre tomes, j'ai appris à aimer ces personnages ou non, être marquée par ce qui leur arrive, à espérer que cela se termine bien, à espérer encore un autre tome pour que ça ne s'arrête jamais. On finit par faire partie de cette famille, connue par la fameuse Alice que je ne suis pas prête d'oublier.
Mes avis sur :
- Alice (tome 1)
- Ariane (tome 2)
- Anaïs (tome 3)
j'adore ton blog niveau littérature nous avons les même goût je commence mon blog
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