Auteur : Andrew Pyper
Editions : L'Archipel (2016)
Nbre de pages : 295
Présentation de l'éditeur :
Le professeur David Ullman est considéré comme le spécialiste mondial de la littérature satanique, notamment grâce à la thèse qu’il a consacrée au Paradis perdu de Milton. Pourtant David, à l’inverse du poète, est loin de croire que notre terre est peuplée de millions d’âmes errantes, invisibles du commun des mortels. Un jour, il est invité à Venise pour y attester d’un « phénomène » surnaturel. D’abord réticent, il cède finalement et s’y rend en compagnie de Tess, sa fille de douze ans. Sur place, les manifestations paranormales dont il est le témoin font vaciller ses certitudes cartésiennes. Avec pour point d’orgue la disparition de sa fille. Sous ses yeux, Tess saute dans les eaux du Grand Canal, mais jamais ne réapparaîtra… Il n’aura dès lors qu’une obsession : la retrouver. Mais tous ceux qu’il croise désormais semblent n’avoir guère plus de consistance que les âmes errantes que décrivait Milton… Et s’il s’agissait de l’œuvre du Diable en personne ?
Mon avis :
Voilà un ouvrage qu'il me tardait vraiment de découvrir vu le titre, bien sûr, mais surtout le résumé qui était vraiment plus qu'alléchant.
Si le prologue m'a mis l'eau à la bouche et me laissait présager une lecture prenante, envoûtante voire même stressante et peut-être horrifique, malheureusement, j'ai vite déchanté.
En effet, au bout d'une cinquantaine de pages, je me suis rendue compte que j'allais dans un ouvrage un peu trop analytique sur le fameux Paradis perdu de Milton. Si certains passages sont intéressants et laissent le lecteur curieux parce qu'on se pose quand même pas mal de questions, sur l'ensemble j'ai été totalement paumée à de nombreuses reprises et vu la fin je ne sais absolument pas si j'ai aimé ou pas.
Je sors de là totalement perdue, avec une impression d'avoir un peu perdu mon temps sur cet ouvrage dont la fin me laisse encore plus interrogative.
J'ai suivi la quête menée par David Ullman pour retrouver sa fille et vu le contexte je pensais vraiment que j'allais trembler, cauchemarder et ne pas arriver même à dormir. Mais c'est tout le contraire qui s'est produit...
D'ailleurs, pour lire à peine ces 300 pages, j'ai mis 3 jours alors que je m'attendais à le lire un peu plus rapidement. C'est dire comme petit à petit j'en arrivais à ne pas vraiment accrocher ni aux personnages ni à l'histoire.
La première de couverture nous marque : "Troublant, perturbant... un livre qui vous hantera longtemps !" (Gillian Flynn). Je ne sais pas si on a lu le même livre mais en tout cas si la citation est vraie c'est surtout parce que je n'ai rien compris et que c'est forcément "troublant" et "perturbant" alors que l'on s'attend à une lecture accrocheuse dès le début.
En bref, Le démonologue est une déception parce que j'en attendais vraiment autre chose. Du coup, si vous vous attendez à une histoire qui vous fasse peur avec pleins de démons méchants à vous faire trembler et pas dormir, passez votre chemin.
Editions : L'Archipel (2016)
Nbre de pages : 295
Présentation de l'éditeur :
Le professeur David Ullman est considéré comme le spécialiste mondial de la littérature satanique, notamment grâce à la thèse qu’il a consacrée au Paradis perdu de Milton. Pourtant David, à l’inverse du poète, est loin de croire que notre terre est peuplée de millions d’âmes errantes, invisibles du commun des mortels. Un jour, il est invité à Venise pour y attester d’un « phénomène » surnaturel. D’abord réticent, il cède finalement et s’y rend en compagnie de Tess, sa fille de douze ans. Sur place, les manifestations paranormales dont il est le témoin font vaciller ses certitudes cartésiennes. Avec pour point d’orgue la disparition de sa fille. Sous ses yeux, Tess saute dans les eaux du Grand Canal, mais jamais ne réapparaîtra… Il n’aura dès lors qu’une obsession : la retrouver. Mais tous ceux qu’il croise désormais semblent n’avoir guère plus de consistance que les âmes errantes que décrivait Milton… Et s’il s’agissait de l’œuvre du Diable en personne ?
Mon avis :
Voilà un ouvrage qu'il me tardait vraiment de découvrir vu le titre, bien sûr, mais surtout le résumé qui était vraiment plus qu'alléchant.
Si le prologue m'a mis l'eau à la bouche et me laissait présager une lecture prenante, envoûtante voire même stressante et peut-être horrifique, malheureusement, j'ai vite déchanté.
En effet, au bout d'une cinquantaine de pages, je me suis rendue compte que j'allais dans un ouvrage un peu trop analytique sur le fameux Paradis perdu de Milton. Si certains passages sont intéressants et laissent le lecteur curieux parce qu'on se pose quand même pas mal de questions, sur l'ensemble j'ai été totalement paumée à de nombreuses reprises et vu la fin je ne sais absolument pas si j'ai aimé ou pas.
Je sors de là totalement perdue, avec une impression d'avoir un peu perdu mon temps sur cet ouvrage dont la fin me laisse encore plus interrogative.
J'ai suivi la quête menée par David Ullman pour retrouver sa fille et vu le contexte je pensais vraiment que j'allais trembler, cauchemarder et ne pas arriver même à dormir. Mais c'est tout le contraire qui s'est produit...
D'ailleurs, pour lire à peine ces 300 pages, j'ai mis 3 jours alors que je m'attendais à le lire un peu plus rapidement. C'est dire comme petit à petit j'en arrivais à ne pas vraiment accrocher ni aux personnages ni à l'histoire.
La première de couverture nous marque : "Troublant, perturbant... un livre qui vous hantera longtemps !" (Gillian Flynn). Je ne sais pas si on a lu le même livre mais en tout cas si la citation est vraie c'est surtout parce que je n'ai rien compris et que c'est forcément "troublant" et "perturbant" alors que l'on s'attend à une lecture accrocheuse dès le début.
En bref, Le démonologue est une déception parce que j'en attendais vraiment autre chose. Du coup, si vous vous attendez à une histoire qui vous fasse peur avec pleins de démons méchants à vous faire trembler et pas dormir, passez votre chemin.
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