Auteur : Sylvie Allouche
Editions : Syros (2017)
Nbre de pages : 300
Présentation de l'éditeur :
Comment Mia, Matthis, Sacha et Valentin, quatre jeunes pianistes, étudiants au Conservatoire national de musique de Paris, ont-ils pu disparaître sans laisser de trace, à un mois d'un concours international ? Ont-ils, sous la pression, décidé ensemble de tout plaquer ? Impossible, d'après les familles interrogées sans relâche par Clara Di Lazio. S'agit-il d'un enlèvement ? La commissaire, réputée coriace, a l'intuition terrible que dans cette enquête, chaque minute compte...
Mon avis :
Voilà un policier jeunesse bien sympa à découvrir que j'ai dévoré en une petite soirée avant-hier. Lorsque je me suis plongée dedans, j'étais loin de m'imaginer que je ne pourrai plus le lâcher...
On est d'entrée de jeu dans la problèmatique du roman : quatre jeunes pianistes du Conservatoire de Paris ont été enlevés et séquestrés dans une pièce où aucune fenêtre n'existe. Ils sont dans le noir complet et vont vivre un véritable calvaire. Pendant ce temps là, la police va tout faire pour savoir qui est derrière cet horrible enlèvement et pourquoi afin d'y mettre la main dessus et retrouver ces jeunes.
Comment vous dire que dès les premières pages, j'ai été tellement happée par l'ambiance et l'histoire de ces jeunes pianistes que je n'arrivais pas à faire autre chose ?!
Sylvie Allouche a un style simple mais hyper accrocheur et les chapitres très courts mettent beaucoup de rythme dans cette histoire.
A cela s'ajoute des chapitres en alternance afin que l'on puisse voir ce qu'il arrive à ces jeunes séquestrés, tout en suivant l'enquête menée par une commissaire, Clara Di Lazio, qui n'a pas froid aux yeux.
C'est d'ailleurs le personnage que j'ai le plus apprécié, avec la jeune Elise, amie des quatre enlevés qui met, elle aussi, une sacrée ambiance.
Celle-ci est d'ailleurs très lourde qu'il s'agisse de l'enlèvement ou de la période dans laquelle on découvre Mia, Matthis, Sacha et Valentin revoir leurs partitions pour un grand concours international qu'il doive passer dans un mois.
Entre la pression qu'ils ont pour être au top du top, les doutes qui les assaillent, les parents qui ne les comprennent pas toujours, tout est là pour que le lecteur se pose suffisamment de questions sur les uns et les autres.
J'avoue que jusqu'à la moitié du roman je n'arrivais pas à me décider sur ce qui avait pu arriver à ces jeunes et qui était derrière ces enlèvements mais mes suspicions étaient quand même bien précises sur ladite personne et la fin m'a juste confirmée que mon flair n'était pas si mauvais.
C'est peut-être là où j'ai ressenti un peu de déception parce que, finalement, on retombe dans une trame trop classique qui se sent de loin. Mais cela ne m'a pas enlevé cet effet d'excitation que j'avais eu pendant plus de 200 pages où je voyais défiler les pages et les chapitres tellement vite qu'en une soirée ce livre était mangé.
Ca fait un bien fou quand on ne passe pas trop de temps sur un livre mais surtout quand on est pris dans l'engrenage de l'enquête et que le feeling passe bien avec les personnages. Forcément, on n'a pas envie que cela s'arrête.
Les personnages sont agréables à suivre et on s'y attache très vite qu'il s'agisse d'ailleurs de ces ados enlevés ou de la commissaire et d'Elise avec leurs caractères bien particuliers mais qui m'ont fait sourire et même rire par moment.
Un peu de détente dans des moments de stress ça fait un bien fou !
Si la fin de Stabat murder m'a donc un peu déçue, cela n'entache en rien la qualité de l'enquête et donc du roman que Sylvie Allouche vous propose ici. Pour ma part, je ne garde que le positif et ce super moment que j'ai eu en le lisant mardi soir.
Mon avis :
Voilà un policier jeunesse bien sympa à découvrir que j'ai dévoré en une petite soirée avant-hier. Lorsque je me suis plongée dedans, j'étais loin de m'imaginer que je ne pourrai plus le lâcher...
On est d'entrée de jeu dans la problèmatique du roman : quatre jeunes pianistes du Conservatoire de Paris ont été enlevés et séquestrés dans une pièce où aucune fenêtre n'existe. Ils sont dans le noir complet et vont vivre un véritable calvaire. Pendant ce temps là, la police va tout faire pour savoir qui est derrière cet horrible enlèvement et pourquoi afin d'y mettre la main dessus et retrouver ces jeunes.
Comment vous dire que dès les premières pages, j'ai été tellement happée par l'ambiance et l'histoire de ces jeunes pianistes que je n'arrivais pas à faire autre chose ?!
Sylvie Allouche a un style simple mais hyper accrocheur et les chapitres très courts mettent beaucoup de rythme dans cette histoire.
A cela s'ajoute des chapitres en alternance afin que l'on puisse voir ce qu'il arrive à ces jeunes séquestrés, tout en suivant l'enquête menée par une commissaire, Clara Di Lazio, qui n'a pas froid aux yeux.
C'est d'ailleurs le personnage que j'ai le plus apprécié, avec la jeune Elise, amie des quatre enlevés qui met, elle aussi, une sacrée ambiance.
Celle-ci est d'ailleurs très lourde qu'il s'agisse de l'enlèvement ou de la période dans laquelle on découvre Mia, Matthis, Sacha et Valentin revoir leurs partitions pour un grand concours international qu'il doive passer dans un mois.
Entre la pression qu'ils ont pour être au top du top, les doutes qui les assaillent, les parents qui ne les comprennent pas toujours, tout est là pour que le lecteur se pose suffisamment de questions sur les uns et les autres.
J'avoue que jusqu'à la moitié du roman je n'arrivais pas à me décider sur ce qui avait pu arriver à ces jeunes et qui était derrière ces enlèvements mais mes suspicions étaient quand même bien précises sur ladite personne et la fin m'a juste confirmée que mon flair n'était pas si mauvais.
C'est peut-être là où j'ai ressenti un peu de déception parce que, finalement, on retombe dans une trame trop classique qui se sent de loin. Mais cela ne m'a pas enlevé cet effet d'excitation que j'avais eu pendant plus de 200 pages où je voyais défiler les pages et les chapitres tellement vite qu'en une soirée ce livre était mangé.
Ca fait un bien fou quand on ne passe pas trop de temps sur un livre mais surtout quand on est pris dans l'engrenage de l'enquête et que le feeling passe bien avec les personnages. Forcément, on n'a pas envie que cela s'arrête.
Les personnages sont agréables à suivre et on s'y attache très vite qu'il s'agisse d'ailleurs de ces ados enlevés ou de la commissaire et d'Elise avec leurs caractères bien particuliers mais qui m'ont fait sourire et même rire par moment.
Un peu de détente dans des moments de stress ça fait un bien fou !
Si la fin de Stabat murder m'a donc un peu déçue, cela n'entache en rien la qualité de l'enquête et donc du roman que Sylvie Allouche vous propose ici. Pour ma part, je ne garde que le positif et ce super moment que j'ai eu en le lisant mardi soir.
Ce n'est pas mon genre de lecture mais peut être que celui là peut m'aider à redécouvrir le genre :)
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