Auteur : Franck Thilliez
Editions : Fleuve Noir (2015)
Nbre de pages : 644
Présentation de l'éditeur :
"L'homme, tel que nous le connaissons, est le pire virus de la planète. Il se reproduit, détruit, épuise ses propres réserves, sans aucun respect, sans stratégie de survie. Sans nous, cette planète court à la catastrophe. Il faut des hommes purs, sélectionnés parmi les meilleurs, et il faut éliminer le reste. Les microbes sont la solution. " Après Angor, une nouvelle aventure pour l'équipe de Franck Sharko et Lucie Henebelle, renforcée en coulisses par la jeune et courageuse Camille. Et l'enjeu est de taille : la préservation de l'espèce humaine.
Mon avis :
Pandemia est la suite de Angor paru l'année dernière et il me tardait de le lire (bon comme à chaque fois qu'un Thilliez sort en librairie...).
On se retrouve un an après les faits produits dans Angor mais il est indéniable qu'il faut avoir lu d'abord le tome précédent. Tout est lié alors un conseil ne vous plongez pas dans ce titre si vous n'avez pas lu l'autre avant. De toute façon, de manière générale, je dirai qu'il vaut mieux avoir lu les titres depuis le début pour comprendre les personnages que sont notamment Sharko et Henebelle.
Dès le début, on comprend sur quoi va porter Pandemia. Il ne faut pas être sorti de St-Cyr pour le deviner. Rien que le titre nous met la puce à l'oreille mais j'étais curieuse de voir comment Franck Thilliez allait aborder ce sujet.
Que dire ?.....
Je n'ai pas envie d'en dévoiler trop. Je n'ai pas envie de vous faire un autre résumé que celui de l'éditeur.
Globalement, Pandemia est bien orchestré et j'ai passé un bon moment... mais...
- il y a des aspects que j'avais déjà vu dans d'autres romans;
- et certains détails qui m'avaient mis la puce à l'oreille sur certaines choses;
- j'ai trouvé que l'action était quand même assez longue à venir;
- je sors un brin déçue de cette lecture mais peut-être en attendais-je trop ?
Franck Thilliez m'avait tellement donné l'habitude d'une fin accrocheuse et stressante que là je suis un peu perdue pour vous parler de ce bouquin. Le problème ne vient pas du tout de l'écriture parce que ça reste du Thilliez et ça se dévore, comme tous les autres titres de l'auteur.
Mais il m'a cruellement manqué cette angoisse patente que je ressentais dans quasiment tous les autres livres de Franck Thilliez. Oui, vous lisez bien : je n'ai pas vraiment stressé avec Pandemia et j'en suis très surprise voire même très déçue.
Je m'attendais à quelque chose de grandiose qui allait me foutre une frousse monumentale et cela n'a pas été le cas.
Je ne dis pas non plus que si les faits devaient arriver dans la réalité ce ne serait pas le chaos mais il y a un je-ne-sais-quoi qui n'a pas collé avec moi. Je suis vraiment restée trop extérieure à tout ça.
Il m'a manqué des détails sordides. Vous savez ceux qui vous font faire la grimace lorsque l'auteur se délecte de les décrire en long, en large et en travers. Pourtant, sur une scène notamment il aurait pu y glisser ce côté glauque que l'on ne retrouve plus dans les Thilliez depuis un certain temps.
Si les tous premiers romans me foutaient une peur monumentale au point que je garde un souvenir de "Train d'enfer pour ange rouge" lorsque mon mari est arrivé tout doucement s'asseoir à mes côtés et me faire un "boooouuuuuh !" qui m'a fait bondir de 3 mètres de haut, les derniers nés sont davantage des thrillers psychologiques. Si cela a parfaitement fonctionné avec "Le syndrôme E" et "Gataca" voire même "Atomka", j'avoue déjà qu'avec "Angor" Franck Thilliez abordait des sujets que j'avais déjà vus ailleurs mais il avait quand même su me surprendre avec les 200 dernières pages.
Malheureusement, cette fois-ci, la sauce n'a pas pris. Dommage !
Thilliez reste quand même un de mes auteurs chouchous et je vais surveiller de près son prochain roman mais je risque d'y aller à reculons avant de l'acheter. Faire un break ce ne serait pas mal pour que cette déception ne se généralise pas.
Mon avis :
Pandemia est la suite de Angor paru l'année dernière et il me tardait de le lire (bon comme à chaque fois qu'un Thilliez sort en librairie...).
On se retrouve un an après les faits produits dans Angor mais il est indéniable qu'il faut avoir lu d'abord le tome précédent. Tout est lié alors un conseil ne vous plongez pas dans ce titre si vous n'avez pas lu l'autre avant. De toute façon, de manière générale, je dirai qu'il vaut mieux avoir lu les titres depuis le début pour comprendre les personnages que sont notamment Sharko et Henebelle.
Dès le début, on comprend sur quoi va porter Pandemia. Il ne faut pas être sorti de St-Cyr pour le deviner. Rien que le titre nous met la puce à l'oreille mais j'étais curieuse de voir comment Franck Thilliez allait aborder ce sujet.
Que dire ?.....
Je n'ai pas envie d'en dévoiler trop. Je n'ai pas envie de vous faire un autre résumé que celui de l'éditeur.
Globalement, Pandemia est bien orchestré et j'ai passé un bon moment... mais...
- il y a des aspects que j'avais déjà vu dans d'autres romans;
- et certains détails qui m'avaient mis la puce à l'oreille sur certaines choses;
- j'ai trouvé que l'action était quand même assez longue à venir;
- je sors un brin déçue de cette lecture mais peut-être en attendais-je trop ?
Franck Thilliez m'avait tellement donné l'habitude d'une fin accrocheuse et stressante que là je suis un peu perdue pour vous parler de ce bouquin. Le problème ne vient pas du tout de l'écriture parce que ça reste du Thilliez et ça se dévore, comme tous les autres titres de l'auteur.
Mais il m'a cruellement manqué cette angoisse patente que je ressentais dans quasiment tous les autres livres de Franck Thilliez. Oui, vous lisez bien : je n'ai pas vraiment stressé avec Pandemia et j'en suis très surprise voire même très déçue.
Je m'attendais à quelque chose de grandiose qui allait me foutre une frousse monumentale et cela n'a pas été le cas.
Je ne dis pas non plus que si les faits devaient arriver dans la réalité ce ne serait pas le chaos mais il y a un je-ne-sais-quoi qui n'a pas collé avec moi. Je suis vraiment restée trop extérieure à tout ça.
Il m'a manqué des détails sordides. Vous savez ceux qui vous font faire la grimace lorsque l'auteur se délecte de les décrire en long, en large et en travers. Pourtant, sur une scène notamment il aurait pu y glisser ce côté glauque que l'on ne retrouve plus dans les Thilliez depuis un certain temps.
Si les tous premiers romans me foutaient une peur monumentale au point que je garde un souvenir de "Train d'enfer pour ange rouge" lorsque mon mari est arrivé tout doucement s'asseoir à mes côtés et me faire un "boooouuuuuh !" qui m'a fait bondir de 3 mètres de haut, les derniers nés sont davantage des thrillers psychologiques. Si cela a parfaitement fonctionné avec "Le syndrôme E" et "Gataca" voire même "Atomka", j'avoue déjà qu'avec "Angor" Franck Thilliez abordait des sujets que j'avais déjà vus ailleurs mais il avait quand même su me surprendre avec les 200 dernières pages.
Malheureusement, cette fois-ci, la sauce n'a pas pris. Dommage !
Thilliez reste quand même un de mes auteurs chouchous et je vais surveiller de près son prochain roman mais je risque d'y aller à reculons avant de l'acheter. Faire un break ce ne serait pas mal pour que cette déception ne se généralise pas.
Quel dommage :/
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