Auteur : James Clemens
Editions : Bragelonne (2010)
Nbre de pages : 528
Présentation de l'éditeur :
Les dieux de Myrillia ont créé les Neuf Contrées qui ont vécu en paix depuis quatre mille ans. Jusqu'à maintenant, car Meeryn, déesse des Îles d'Estivage, a été assassinée. Le seul témoin, un infirme nommé Tylar de Noche, est un Chevalier d'ombre tombé en disgrâce. La déesse mourante lui a accordé dans un dernier souffle une puissante bénédiction qui a guéri son corps brisé, une marque que beaucoup voient comme la preuve qu il est l assassin. Pourchassé, aidé par d'autres parias, Tylar doit débusquer et vaincre un être assez puissant pour tuer un immortel...
Mon avis :
Voilà une nouvelle saga qui promet ! J'ai été totalement emballée par cette lecture que j'ai trouvée plus complexe que "Les bannis et les proscrits", précédente série de l'auteur que je suis en train de découvrir depuis quelques mois.
Dans "L'ombre de l'assassin", nous retrouvons à peu près le même schéma puisque nous suivons en parallèle deux personnages essentiels :
Forcément, on se doute qu'à un moment donné ces deux là vont se rencontrer. Le tout est de faire la relation entre chacun des personnages et de savoir ce qui les lie. Et là, ce n'est pas gagné parce qu'il est impossible de connaître ce lien avant la révélation faite par l'auteur.
Du coup, il est difficile de lâcher ce bouquin même si, pour ma part, ma lecture a été ardue au départ.
En effet, le monde dans lequel James Clemens nous emmène est loin d'être simple et il faut vraiment bien intégré toutes les informations qu'il donne sur les Dieux, les Mains, les différentes humeurs et ce qu'elles entraînent lors de leur utilisation, le rôle des Chevaliers de l'Ombre mais aussi comment ces Dieux sont arrivés sur Terre, comment ils ont pu régner et qui ils sont réellement.
Tout ça, bien entendu, vous l'apprendrez au fur et à mesure de votre avancée dans ce livre mais on voit bien que l'auteur plante bien le décor dans ce premier tome.
De plus, James Clemens nous fait voyager entre fantasy et science-fiction puisque si l'ensemble laisse penser que l'on évolue dans une époque moyenâgeuse, il n'en demeure pas moins que l'imagination débordante de l'auteur nous fait monter sur un bateau-nageoire ou autre module des profondeurs assez spectaculaire.
Moi qui ai du mal à concevoir et imaginer ce genre d'engins, je n'étais pas très rassurée et je me demandais si je n'allais pas tomber dans un ouvrage plus orienté dans la science-fiction que la fantasy.
Eh bien non ! Parce que James Clemens dose parfaitement l'un et l'autre et j'ai pu, sans trop de difficultés, avancer sur certains passages un peu ardus.
L'écriture est toujours aussi plaisante et facile à lire. On "voit" parfaitement le monde créé et les êtres qui le composent grâce aux descriptions très complètes mais non exagérées de l'écrivain.
Dans "L'ombre de l'assassin", nous retrouvons à peu près le même schéma puisque nous suivons en parallèle deux personnages essentiels :
- Fléchette, une jeune fille de 13 ans, orpheline, qui a auprès d'elle un animal de compagnie bien particulier (je n'en dirai pas plus pour ne pas gâcher votre éventuelle future lecture), et
- Tylar, un ancien Chevalier de l'Ombre, banni pour des faits qu'il nie avoir commis.
Forcément, on se doute qu'à un moment donné ces deux là vont se rencontrer. Le tout est de faire la relation entre chacun des personnages et de savoir ce qui les lie. Et là, ce n'est pas gagné parce qu'il est impossible de connaître ce lien avant la révélation faite par l'auteur.
Du coup, il est difficile de lâcher ce bouquin même si, pour ma part, ma lecture a été ardue au départ.
En effet, le monde dans lequel James Clemens nous emmène est loin d'être simple et il faut vraiment bien intégré toutes les informations qu'il donne sur les Dieux, les Mains, les différentes humeurs et ce qu'elles entraînent lors de leur utilisation, le rôle des Chevaliers de l'Ombre mais aussi comment ces Dieux sont arrivés sur Terre, comment ils ont pu régner et qui ils sont réellement.
Tout ça, bien entendu, vous l'apprendrez au fur et à mesure de votre avancée dans ce livre mais on voit bien que l'auteur plante bien le décor dans ce premier tome.
De plus, James Clemens nous fait voyager entre fantasy et science-fiction puisque si l'ensemble laisse penser que l'on évolue dans une époque moyenâgeuse, il n'en demeure pas moins que l'imagination débordante de l'auteur nous fait monter sur un bateau-nageoire ou autre module des profondeurs assez spectaculaire.
Moi qui ai du mal à concevoir et imaginer ce genre d'engins, je n'étais pas très rassurée et je me demandais si je n'allais pas tomber dans un ouvrage plus orienté dans la science-fiction que la fantasy.
Eh bien non ! Parce que James Clemens dose parfaitement l'un et l'autre et j'ai pu, sans trop de difficultés, avancer sur certains passages un peu ardus.
L'écriture est toujours aussi plaisante et facile à lire. On "voit" parfaitement le monde créé et les êtres qui le composent grâce aux descriptions très complètes mais non exagérées de l'écrivain.
La fin m'a laissée dubitative mais j'ai été enchantée de découvrir ce nouvel univers "clémensien" d'autant qu'il m'a davantage intéressé et plu que celui des "Bannis et des proscrits" tenant notamment sa complexité.
Amours déchirés, corruption sans égale, vengeance, rébellion..., tout a été mis en place pour un tome 2 qui devrait nous accrocher encore plus et que j'attends impatiemment.
J'ai pu lire cet ouvrage grâce à un partenariat organisé entre Livraddict et les Editions Bragelonne. Je remercie grandement l'un et l'autre pour cette superbe et intéressante découverte.