Edition que j'ai lu : France Loisirs (2010)
Nbre de pages : 768
Présentation de l'éditeur :
Un vampire libertin et impie qui ne croit ni à Dieu ni au diable ?
Lestat de Lioncourt, benjamin d'une famille de hobereaux auvergnats
minés, a été vampirisé dans sa vingtième année par un démon. Deux
siècles plus tard, en Californie, attiré des profondeurs de la terre par
le climat dionysiaque qui règne dans le monde, il lance un défi aux
puissances des ténèbres en jouant une musique à réveiller les morts...
Avec Lestat le vampire, Anne Rice a créé une créature unique et a
révolutionné la littérature fantastique. Du San Francisco d'aujourd'hui à
la Bretagne druidique en passant par la Venise du XVe siècle et le
Paris pré-révolutionnaire, un roman admirable et vertigineux, au cœur
d'un univers fascinant de sensualité et d'angoisse, peuplé d'êtres
mi-anges mi-démons qui nous ressemblent comme des frères...
Mon avis :
Encore une découverte en prenant ce livre dans ma PAL pour mon défi personnel qui y traînait depuis plus d'un an. Au départ, j'avais deux appréhensions :
Du coup, j'y suis allée tout doucement en me plongeant d'abord dans l'avant-propos où Lestat nous explique ce que sera ce livre. Et là, j'ai eu une véritable révélation : j'ai adoré l'écriture de Anne Rice mais j'ai encore plus accroché au personnage de Lestat.
En 20 pages, je savais que ça allait me plaire et que même si je mettais un certain temps pour en venir à bout (malheureusement j'ai tant d'autres choses à faire en ce moment que bouquiner...), mon intérêt serait toujours présent.
Pourquoi un tel engouement pour un ouvrage vampirique alors que je ne suis pas une adepte de ce genre ?
Pour plusieurs raisons.
D'abord, Lestat est un personnage très charismatique. Il m'a plu d'emblée parce qu'il n'a rien à voir avec ces vampires que l'on trouve aujourd'hui dans toutes ces séries bit-lit. Lui, c'est un homme, un vrai. Celui qui va au bout de ses convictions, qui réfléchit avec sa tête et non pas avec ce qu'il a entre les jambes.
Lestat est un grand personnage qui va tenter de comprendre beaucoup de choses et pour ce faire il va traîner son lecteur de continent en continent, à travers les siècles (200 ans ce n'est pas rien !) et croyez moi qu'au bout de toute cette aventure, on en apprend des secrets.
C'est d'ailleurs, la deuxième chose qui m'a plu dans ce livre.
Anne Rice ne se contente pas de raconter une banale histoire de vampire qui va tuer pour survivre. C'est beaucoup plus subtil et profond que ça.
Elle va littéralement créer un mythe, LE mythe, qui sera la base de tout le roman et du pourquoi de la nature même de ce qui fait le vampire. (Euh... vous me suivez là ?)
J'avoue qu'il faut passer par pas mal de détours avant d'avoir le fin mot de l'histoire mais vraiment ça vaut vraiment le coup de s'y lancer dedans.
De plus, Lestat, malgré son état de buveur de sang, garde un côté humain d'une certaine façon. C'est vraiment bluffant et très intéressant à lire.
Par ailleurs, l'histoire nous est racontée directement par l'intéressé lui-même, comme s'il écrivait un mémoire. La vie des vampires étant régie par des règles strictes (que vous connaîtrez en lisant le livre), cela donne l'impression au lecteur d'être dans la confidence de ce que narre Lestat.
On nous dévoile tant de secrets à travers des siècles que cela devient addictif. Il est difficile de s'arrêter de lire surtout quand on entre dans les confidences des "anciens" vampires que Lestat rencontre.
Bien sûr, vous l'avez compris, j'ai très envie de poursuivre la série avec "La Reine des Damnés" et je vous invite, si ce n'est pas déjà fait, à vous lancer dans cette saga.
Mais attention pour ceux ou celles qui ont l'habitude de la bit-lit, cela n'a rien à voir avec ce genre là et pour ma part j'en suis plus que ravie.
Mon avis :
Encore une découverte en prenant ce livre dans ma PAL pour mon défi personnel qui y traînait depuis plus d'un an. Au départ, j'avais deux appréhensions :
- vu que je ne connaissais pas l'auteur, je n'étais pas sûre que le style me plairait
- d'autre part, cette appréhension était aiguisée par le fait que cela parlait de vampire et moi et les buveurs de sang, vous le savez maintenant, on est loin d'être copains.
Du coup, j'y suis allée tout doucement en me plongeant d'abord dans l'avant-propos où Lestat nous explique ce que sera ce livre. Et là, j'ai eu une véritable révélation : j'ai adoré l'écriture de Anne Rice mais j'ai encore plus accroché au personnage de Lestat.
En 20 pages, je savais que ça allait me plaire et que même si je mettais un certain temps pour en venir à bout (malheureusement j'ai tant d'autres choses à faire en ce moment que bouquiner...), mon intérêt serait toujours présent.
Pourquoi un tel engouement pour un ouvrage vampirique alors que je ne suis pas une adepte de ce genre ?
Pour plusieurs raisons.
D'abord, Lestat est un personnage très charismatique. Il m'a plu d'emblée parce qu'il n'a rien à voir avec ces vampires que l'on trouve aujourd'hui dans toutes ces séries bit-lit. Lui, c'est un homme, un vrai. Celui qui va au bout de ses convictions, qui réfléchit avec sa tête et non pas avec ce qu'il a entre les jambes.
Lestat est un grand personnage qui va tenter de comprendre beaucoup de choses et pour ce faire il va traîner son lecteur de continent en continent, à travers les siècles (200 ans ce n'est pas rien !) et croyez moi qu'au bout de toute cette aventure, on en apprend des secrets.
C'est d'ailleurs, la deuxième chose qui m'a plu dans ce livre.
Anne Rice ne se contente pas de raconter une banale histoire de vampire qui va tuer pour survivre. C'est beaucoup plus subtil et profond que ça.
Elle va littéralement créer un mythe, LE mythe, qui sera la base de tout le roman et du pourquoi de la nature même de ce qui fait le vampire. (Euh... vous me suivez là ?)
J'avoue qu'il faut passer par pas mal de détours avant d'avoir le fin mot de l'histoire mais vraiment ça vaut vraiment le coup de s'y lancer dedans.
De plus, Lestat, malgré son état de buveur de sang, garde un côté humain d'une certaine façon. C'est vraiment bluffant et très intéressant à lire.
Par ailleurs, l'histoire nous est racontée directement par l'intéressé lui-même, comme s'il écrivait un mémoire. La vie des vampires étant régie par des règles strictes (que vous connaîtrez en lisant le livre), cela donne l'impression au lecteur d'être dans la confidence de ce que narre Lestat.
On nous dévoile tant de secrets à travers des siècles que cela devient addictif. Il est difficile de s'arrêter de lire surtout quand on entre dans les confidences des "anciens" vampires que Lestat rencontre.
Bien sûr, vous l'avez compris, j'ai très envie de poursuivre la série avec "La Reine des Damnés" et je vous invite, si ce n'est pas déjà fait, à vous lancer dans cette saga.
Mais attention pour ceux ou celles qui ont l'habitude de la bit-lit, cela n'a rien à voir avec ce genre là et pour ma part j'en suis plus que ravie.