Auteur : Arthur Slade
Editions : MSK (2013)
Nbre de pages : 326
Présentation de l'éditeur :
Agent secret hors du commun, Modo travaille depuis toujours sous les
ordres du mystérieux M. Socrate. Pourtant, quand une missive venue de
France le met sur la piste des parents qui l'ont abandonné à la
naissance, rien ne saurait l'empêcher de se lancer à leur recherche.
Prudence : Modo n'est pas le seul que cette découverte intrigue. Fascinée depuis longtemps par la nature fantastique du jeune garçon, l'organisation secrète de la Confrérie de l'horloge a déjà une longueur d'avance.
Sur la route de Modo, le gardien des cloches de Notre-Dame, un géant de chair dont le cœur ne bat pas, un palais de cristal au beau milieu de l'océan et la redoutable Mlle Hakkandottir à la main d'argent. Est-il de taille à lutter ?
Mon avis :
Voilà le dernier tome de la série "Les agents de M. Socrate" avec lequel j'ai passé un très bon moment de lecture. J'avais hâte de retrouver Modo et Octavia et savoir un peu comment l'ensemble allait se terminer.
Le moins que je puisse dire c'est que Arthur Slade sait, avec perfection, rendre son lecteur totalement addictif aux personnages et à l'histoire qu'il a mis en place dès le premier tome.
Ici, nous allons découvrir quelles sont les origines de Modo. Octavia sera, bien sûr, de la partie. Mais, il ne faut pas non plus oublier le combat que mènent ces agents contre la Confrérie de l'Horloge.
Entre les recherches personnelles et les risques liés à leurs adversaires, on est encore trimballé dans une histoire plus que prenante et ô combien impossible à lâcher.
Nous avons envie, à la fois, de savoir ce qu'il en est du passé de Modo mais également de voir la Confrérie démantelée.
Le rythme est toujours aussi bien mené et tenu et Arthur Slade garde une plume toujours aussi fluide et prenante.
L'ouvrage se lit très voire même trop rapidement à mon goût. A chaque fois que je m'arrêtais, je constatais que je l'engloutissais, tellement j'étais prise dans l'engrenage de tout ce qui s'y passe. Surtout que l'auteur ne fait pas de quartier, même pour les personnages que l'on aime.
Je me suis d'ailleurs demandée, à un moment donné, si tout cela n'allait pas tourner à la mauvaise plaisanterie et que la fin n'allait peut-être pas prendre la tournure que j'attendais. Heureusement pour moi, il n'en a rien été mais je peux vous assurer que j'ai quand même eu un petit coup de stress vers la moitié du bouquin.
La fin, quant à elle, m'a donné un pincement au coeur parce que j'ai réalisé à ce moment là que la saga se terminait et que je ne retrouverai plus Modo, ni Octavia, notamment.
Cela dit, l'auteur laisse quand même une porte ouverte et j'espère très sincèrement qu'un jour où l'autre, il partira sur une autre série mais avec ses mêmes personnages pour que l'on puisse continuer à les suivre dans leur nouvelle vie.
En bref, L'île des damnés clos magnifiquement la série et ce n'est pas l'ouvrage mais la série complète que je recommande grandement tant elle apporte de suspense et d'émotions. Je me suis beaucoup attachée à tous ceux qui composent cette saga et je suis bien triste de devoir les quitter. Une chose est sûre : il me tarde que mon petit garçon soit en âge de les découvrir à son tour. Aussi bien, je me replongerai dans la saga à ce moment là et je sais que ce ne sera que du bonheur !
Je remercie les Editions MSK de m'avoir transmis cet ouvrage et terminer cette fabuleuse saga.
Prudence : Modo n'est pas le seul que cette découverte intrigue. Fascinée depuis longtemps par la nature fantastique du jeune garçon, l'organisation secrète de la Confrérie de l'horloge a déjà une longueur d'avance.
Sur la route de Modo, le gardien des cloches de Notre-Dame, un géant de chair dont le cœur ne bat pas, un palais de cristal au beau milieu de l'océan et la redoutable Mlle Hakkandottir à la main d'argent. Est-il de taille à lutter ?
Mon avis :
Voilà le dernier tome de la série "Les agents de M. Socrate" avec lequel j'ai passé un très bon moment de lecture. J'avais hâte de retrouver Modo et Octavia et savoir un peu comment l'ensemble allait se terminer.
Le moins que je puisse dire c'est que Arthur Slade sait, avec perfection, rendre son lecteur totalement addictif aux personnages et à l'histoire qu'il a mis en place dès le premier tome.
Ici, nous allons découvrir quelles sont les origines de Modo. Octavia sera, bien sûr, de la partie. Mais, il ne faut pas non plus oublier le combat que mènent ces agents contre la Confrérie de l'Horloge.
Entre les recherches personnelles et les risques liés à leurs adversaires, on est encore trimballé dans une histoire plus que prenante et ô combien impossible à lâcher.
Nous avons envie, à la fois, de savoir ce qu'il en est du passé de Modo mais également de voir la Confrérie démantelée.
Le rythme est toujours aussi bien mené et tenu et Arthur Slade garde une plume toujours aussi fluide et prenante.
L'ouvrage se lit très voire même trop rapidement à mon goût. A chaque fois que je m'arrêtais, je constatais que je l'engloutissais, tellement j'étais prise dans l'engrenage de tout ce qui s'y passe. Surtout que l'auteur ne fait pas de quartier, même pour les personnages que l'on aime.
Je me suis d'ailleurs demandée, à un moment donné, si tout cela n'allait pas tourner à la mauvaise plaisanterie et que la fin n'allait peut-être pas prendre la tournure que j'attendais. Heureusement pour moi, il n'en a rien été mais je peux vous assurer que j'ai quand même eu un petit coup de stress vers la moitié du bouquin.
La fin, quant à elle, m'a donné un pincement au coeur parce que j'ai réalisé à ce moment là que la saga se terminait et que je ne retrouverai plus Modo, ni Octavia, notamment.
Cela dit, l'auteur laisse quand même une porte ouverte et j'espère très sincèrement qu'un jour où l'autre, il partira sur une autre série mais avec ses mêmes personnages pour que l'on puisse continuer à les suivre dans leur nouvelle vie.
En bref, L'île des damnés clos magnifiquement la série et ce n'est pas l'ouvrage mais la série complète que je recommande grandement tant elle apporte de suspense et d'émotions. Je me suis beaucoup attachée à tous ceux qui composent cette saga et je suis bien triste de devoir les quitter. Une chose est sûre : il me tarde que mon petit garçon soit en âge de les découvrir à son tour. Aussi bien, je me replongerai dans la saga à ce moment là et je sais que ce ne sera que du bonheur !
Je remercie les Editions MSK de m'avoir transmis cet ouvrage et terminer cette fabuleuse saga.
Il me fait envie. Faut que je le lise ^^
RépondreSupprimerPouvoir s'attacher aux personnages comme toi, ici, c'est vraiment l'essentiel pour moi dans ce genre de série. Si en plus l'intrigue est top, c'est l'idéal!
RépondreSupprimerTrès belle chronique !
RépondreSupprimerMoi aussi, je n'ai pas cessé de me dire que je lisais vraiment trop vite et que ça allait s'achever trop tôt à mon goût. Et c'est vrai qu'il clôt vraiment bien la saga. Espérons que la fin ouverte donnera lieu à autre chose !