Auteur : Amy Stewart
Editions : 10/18 (2017)
Nbre de pages : 402
Présentation de l'éditeur :
Eté 1915, New Jersey. Constance Kopp est devenue l'une des premières femmes shérif adjoint du pays. La terreur des voyous et des scélérats, avec arme et menottes... mais toujours sans insigne. L'époque, la loi et l'opinion publique résistent encore à sa nomination. Au point que le shérif se voit contraint de la déchoir provisoirement de ses fonctions. La voilà reléguée gardienne de prison, trépignant dans l'ennui routinier de la cage à poules en attendant que les critiques se tassent. Jusqu'à ce qu'un étrange Allemand, confié à sa garde, ne prenne la poudre d'escampette. Et que Constance ne se lance dans une chasse à l'homme, bien décidée à retrouver son prisonnier enfui et son honneur perdu.
Mon avis :
Voila un deuxième tome que j'avais hâte de découvrir parce que j'ai eu un excellent atome crochu avec Constance Kopp. Cette jeune femme dans l'ouvrage précédent m'a fait forte impression quant à sa capacité de gérer les problèmes qu'elle a rencontrés mais surtout sa façon de les régler, faisant d'elle la nouvelle adjointe du shérif Heath.
Ici, Constance va être mise à la mal suite à l'évasion d'un détenu dont elle avait la garde. En l'occurrence, cet homme, le Baron von Matthesius, a plusieurs facettes que l'on découvrira au fur et à mesure que l'on progressera dans le roman.
Autant vous dire que Constance va tout mettre en oeuvre pour le retrouver, même si dans cet ouvrage, le shérif Heath commence à avoir des doutes sur sa capacité de pouvoir occuper un poste aussi important que celui d'adjointe, d'autant que la hiérarchie met n'accepte pas une femme comme adjointe et que l'insigne qu'elle attendait tant ne lui sera finalement pas remis comme elle l'espérait.
Il va s'en dire que Constance ne va pas rester les bras croisées, même lorsqu'elle sera mise sur la touche par le shérif parce que son métier, elle l'a dans la peau.
On va la suivre un peu partout non seulement pour retrouver ledit fugitif mais également et surtout pour prouver sa valeur aux côtés du shérif. Ils forment un duo qui fonctionne parfaitement et elle compte bien mise sur sa stature particulière pour que son statut soit validé définitivement.
Il y a beaucoup de choses que j'aime dans la série d'Amy Stewart et le côté historique n'est pas le moindre. L'auteur nous détaille les conditions féminines en 1915 et c'est vraiment très intéressant de voir comment ces femmes (quelque soit leur métier) ont pu se battre pour obtenir ce qu'elles désiraient mais surtout prouver la valeur de leur travail et ce qu'elles pouvaient apporter à leur homologues masculins.
Les enquêtes sont elles aussi intéressantes d'autant qu'elles découlent de véritables faits qui se sont déroulés et quand je vois le personnage de von Matthesisus, je me dis que sa recherche n'a effectivement pas dû être évidente pour Constance...
On s'en rend parfaitement compte tout au long de l'ouvrage puisqu'il se cache comme il le faut et possède pas mal de connaissances pour l'aider à ne pas être retrouvé par la police.
Le plus intéressant et de se rendre compte que Constance a un caractère très bien forgé, voire même un peu trop têtu aux yeux du shérif, pour se laisser abattre même si, soyons honnête, peu de personnes croit en sa capacité de retrouver cet homme.
Heureusement pour elle, Constance est épaulée par sa soeur, Norma, qui est loin d'être aussi idiote que les hommes de l'époque peuvent le laisser penser.
C'est une femme de réflexion que j'apprends de plus en plus à aimer et je m'y attache de plus en plus.
Tout comme d'ailleurs, Fleurette, la dernière "soeur" de la famille que l'on voit évoluer encore ici et j'adore ce personnage que je vous laisse découvrir à votre tour.
Nous sommes en 1915, tout est compliqué pour une femme qui veut mener un métier d'homme et Amy Stewart retrace avec perfection ces problèmes mais dépeint aussi des femmes avec des caractères comme je les aime.
En bref, La femme à l'insigne signe un deuxième tome très bon dans lequel je me suis laissée emporter et que j'ai dégusté du début à la fin. Chaque soeur Kopp me plaît beaucoup et je suis déjà prête à lire le roman suivant, surtout que la fin est très ouverte mais je n'en dirai pas plus...
Mon avis :
Voila un deuxième tome que j'avais hâte de découvrir parce que j'ai eu un excellent atome crochu avec Constance Kopp. Cette jeune femme dans l'ouvrage précédent m'a fait forte impression quant à sa capacité de gérer les problèmes qu'elle a rencontrés mais surtout sa façon de les régler, faisant d'elle la nouvelle adjointe du shérif Heath.
Ici, Constance va être mise à la mal suite à l'évasion d'un détenu dont elle avait la garde. En l'occurrence, cet homme, le Baron von Matthesius, a plusieurs facettes que l'on découvrira au fur et à mesure que l'on progressera dans le roman.
Shérif Heath |
Il va s'en dire que Constance ne va pas rester les bras croisées, même lorsqu'elle sera mise sur la touche par le shérif parce que son métier, elle l'a dans la peau.
On va la suivre un peu partout non seulement pour retrouver ledit fugitif mais également et surtout pour prouver sa valeur aux côtés du shérif. Ils forment un duo qui fonctionne parfaitement et elle compte bien mise sur sa stature particulière pour que son statut soit validé définitivement.
Il y a beaucoup de choses que j'aime dans la série d'Amy Stewart et le côté historique n'est pas le moindre. L'auteur nous détaille les conditions féminines en 1915 et c'est vraiment très intéressant de voir comment ces femmes (quelque soit leur métier) ont pu se battre pour obtenir ce qu'elles désiraient mais surtout prouver la valeur de leur travail et ce qu'elles pouvaient apporter à leur homologues masculins.
Docteur Révérend Baron von Matthesius |
On s'en rend parfaitement compte tout au long de l'ouvrage puisqu'il se cache comme il le faut et possède pas mal de connaissances pour l'aider à ne pas être retrouvé par la police.
Le plus intéressant et de se rendre compte que Constance a un caractère très bien forgé, voire même un peu trop têtu aux yeux du shérif, pour se laisser abattre même si, soyons honnête, peu de personnes croit en sa capacité de retrouver cet homme.
Heureusement pour elle, Constance est épaulée par sa soeur, Norma, qui est loin d'être aussi idiote que les hommes de l'époque peuvent le laisser penser.
C'est une femme de réflexion que j'apprends de plus en plus à aimer et je m'y attache de plus en plus.
Tout comme d'ailleurs, Fleurette, la dernière "soeur" de la famille que l'on voit évoluer encore ici et j'adore ce personnage que je vous laisse découvrir à votre tour.
Nous sommes en 1915, tout est compliqué pour une femme qui veut mener un métier d'homme et Amy Stewart retrace avec perfection ces problèmes mais dépeint aussi des femmes avec des caractères comme je les aime.
En bref, La femme à l'insigne signe un deuxième tome très bon dans lequel je me suis laissée emporter et que j'ai dégusté du début à la fin. Chaque soeur Kopp me plaît beaucoup et je suis déjà prête à lire le roman suivant, surtout que la fin est très ouverte mais je n'en dirai pas plus...
Tu me donnes envie d'essayer cette série :D
RépondreSupprimerHon je ne connais pas du tput mais je veux découvrir ces deux tomes.
RépondreSupprimerGrrr pas tpout mais tout. Désolée.
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