Auteur : Stephen King
Editions : Albin Michel (2013)
Nbre de pages : 851
Présentation de l'éditeur (tome 1) :
Le Dôme : personne n'y entre, personne n'en sort.À la fin de l'automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu'est ce dôme transparent, d'où il vient et quand ' ou si ' il partira. L'armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l'intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu'à l'os, voit tout de suite le bénéfice qu'il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s'installe et la résistance s'organise autour de Dale Barbara, vétéran de l'Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville...Stephen King, l'« Edgar Poe du XXe siècle », est un mythe vivant de la littérature américaine: plus de 50 romans, tous best-sellers et plus de 200 nouvelles.
Mon avis :
J'avais bien accroché au premier tome et vu la fin, il me tardait de lire la suite pour comprendre d'où venait ce dôme et comment cela allait se dérouler dans cette ville totalement bloquée du reste du monde et dans laquelle Jim Rennie règne en dictateur.
J'ai eu du mal à me remettre dans le bain et me souvenir de certains personnages secondaires. Le livre fait plus de 800 pages et il m'en a bien fallu 200 pour reprendre le rythme.
On voit assez peu Dale Barbara vu sa situation en fin de tome 1. Ce sont surtout les femmes (Linda, Julia...) qui vont prendre le relais.
Si ce second opus est intéressant et se lit finalement assez vite vu son épaisseur, j'ai aussi trouvé qu'il tirait en longueur et notamment concernant Junior, le fils de Jim. Son évolution est détestable mais cela se comprend vu le père qu'il a et ce dont il est atteint...
J'ai aimé suivre la révolte qui se met en place contre Jim Rennie et que l'on sentait monter dans le tome 1 mais là encore, le King aurait pu aller plus vite sur certains passages car trop de longueurs pour mettre du suspense tue la patience du lecteur et les ficelles finissent par casser.
S'agissant de l'explication sur le dôme, je reste très perplexe. C'est, de ce côté là, trop SF pour moi et je n'ai pas du tout adhéré.
Par contre, voir comment l'Homme réagit dans la situation qui est celle des habitants de Chester Mill a été très prenant à découvrir.
L'âme humaine reste imprévisible quoi que l'on puisse en dire et j'aime beaucoup ces romans dans lesquels on nous met face à nos éventuelles réactions dans des situations critiques.
D'ailleurs, dans le même genre, il me faudrait finir la série Gone de Mickaël Grant qui traîne dans ma liseuse...
J'ai eu du mal à me remettre dans le bain et me souvenir de certains personnages secondaires. Le livre fait plus de 800 pages et il m'en a bien fallu 200 pour reprendre le rythme.
On voit assez peu Dale Barbara vu sa situation en fin de tome 1. Ce sont surtout les femmes (Linda, Julia...) qui vont prendre le relais.
Si ce second opus est intéressant et se lit finalement assez vite vu son épaisseur, j'ai aussi trouvé qu'il tirait en longueur et notamment concernant Junior, le fils de Jim. Son évolution est détestable mais cela se comprend vu le père qu'il a et ce dont il est atteint...
J'ai aimé suivre la révolte qui se met en place contre Jim Rennie et que l'on sentait monter dans le tome 1 mais là encore, le King aurait pu aller plus vite sur certains passages car trop de longueurs pour mettre du suspense tue la patience du lecteur et les ficelles finissent par casser.
S'agissant de l'explication sur le dôme, je reste très perplexe. C'est, de ce côté là, trop SF pour moi et je n'ai pas du tout adhéré.
Par contre, voir comment l'Homme réagit dans la situation qui est celle des habitants de Chester Mill a été très prenant à découvrir.
L'âme humaine reste imprévisible quoi que l'on puisse en dire et j'aime beaucoup ces romans dans lesquels on nous met face à nos éventuelles réactions dans des situations critiques.
D'ailleurs, dans le même genre, il me faudrait finir la série Gone de Mickaël Grant qui traîne dans ma liseuse...
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